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Ma demi-sœur est en manque de sexe

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Résumé de l’histoire érotique : Mathis a toujours rêvé de sodomiser sa demi-sœur coquine, Eva. Mais l’occasion ne s’est jamais présentée et notre ami a toute sa vie attendu le moment propice pour lui sauter dessus. Cette aprèm, en amenant leurs enfants à l’école, ils se retrouvent face à face, à la sortie du bâtiment et Eva lui propose de le reconduire dans sa voiture. Le récit de cette demi-sœur en manque de sexe, offert par notre blog d’histoires érotiques, vous fera capoter.

  

  

Je vois souvent Eva, ma demi-sœur, car ses enfants et les miens vont à la même école. Sa vie amoureuse est vraiment très mouvementée et la coquine change de mec presque tous les mois.

  

Et les mecs doivent lui tourner autour tout le temps, attirés par son petit corps de rêve, qu’elle entraîne tous les jours à la gym. J’avoue qu’elle a toujours été présente dans mes fantasmes, surtout quand j’étais adolescent et que je la voyais grandir à pas de géant.

  

J’ai dédié ma première branlette à sa poitrine généreuse qu’elle ne prenait pas la peine de cacher et qu’elle exhibait exprès devant les gosses du quartier.

  

Dans mes rêves, ma demi-sœur en manque me suçait jusqu’à me faire éjaculer car elle aimait avaler et se goinfrer de foutre.

  

Aujourd’hui je craque toujours à la vue de ses gros nichons, parfaits et naturels et de son petit cul que j’aimerais sodomiser bien à fond.

  

Je laisse mes enfants à l’école et je la vois venir vers moi. Le sourire aux lèvres, ma demi-sœur me donne un bisou sur la joue et me montre sa bague. Elle vient de se fiancer!!

  

On discute un moment et puis, comme ma voiture est chez le garagiste, Eva m’invite à monter dans la sienne. J’acquiesce sachant par avance que cette après-midi ne serait pas comme les autres.

  

Eva conduit très vite et elle ne cesse de toucher mes cuisses, à chaque feu rouge. Elle se permet cette proximité physique car on est supposés être «de la famille», mais de toute façon cela me fait bander grave.

  

Je ne sais pas pourquoi mais je ne cache pas mon érection, bien au contraire, je voudrais qu’elle s’en rende compte, pour voir sa réaction.

  

Eva l’a déjà vue mais elle fait semblant que rien ne se passe. Je regarde ses seins et son jean ultra moulant, tout chez-elle est à croquer et cela ne fait qu’augmenter ma gaule.

  

La bosse entre mes jambes est vraiment impossible à dissimuler.

  

Soudain, au tournant d’une rue, ma demi-sœur en manque de sexe ouvre la fermeture de mon pantalon, glissant ses mains sous ma braguette.

  

D’une main elle conduit et de l’autre elle caresse ma bite, avec une douceur extrême. Je n’ai jamais vu une femme si chaude, qui se permette de faire des cochonneries au milieu de la circulation.

  

Je la prie de s’arrêter devant un hôtel pour prendre une chambre. Elle m’obéit, toute rouge, excitée par le double effet de la chaleur écrasante de l’après-midi et de ma bite raide, qu’elle ne cesse de caresser.

  

Une fois qu’on est allés dans la chambre et que la porte est fermée à verrou, ma demi-sœur en manque s’agenouille pour me sucer, sans plus de préliminaires.

  

Elle astique mon membre bien à fond, en faisant des gorges profondes baveuses et incroyables, qui me font mouiller comme jamais avant.

  

Je la laisse assouvir un peu sa faim de bite et puis, en la priant de s’allonger sur le lit, je me couche à côté d’elle pour masser ses seins et l’embrasser sur les lèvres, pendant quelques minutes.

  

Je pince ses tétons durcis et la cochonne gémit très fort, en se tordant de plaisir. Les yeux fermés, Eva semble être sur le point d’exploser et cela m’excite davantage.

  

C’est trop pour moi, je me mets sur elle et, écartant grand ses jambes, je glisse d’un seul coup mon dard palpitant dans sa foune, humide et chaude.

  

«Ouiiiiiiiiiiiiiii, encooooooooooore, encoooooooooooore, vas-y Mathis, rends-moi heureuse»

  

Les clapotements de mon pénis dans sa chatte inondée de fluides me rendent fou. Ma demi-sœur en manque crie et me prie d’y aller de plus en plus fort.

  

Je la pénètre sans aucun égard, avec des mouvements très appuyés mais cela ne semble pas assez pour cette prédatrice sexuelle, décidée à prendre son pied avec son frère.

  

Tout à coup, la coquine retire ma bite et, en se mettant à quatre pattes, me prie de la défoncer sans aucune pitié. Je la baise à gros coups de bite, sans autre but que de lui procurer du plaisir et de la faire monter au septième ciel.

  

Rien ne vaut une demi-sœur en manque de sexe, je vous l’assure, car la cochonne, se sentant venir, enfile elle-même ma verge dans son anus, pour éprouver de nouvelles sensations.

  

Secouée par un orgasme infernal, Eva va-et-vient, sur ma bite raide, qui ne tarde pas à lui balancer un torrent de foutre dégoulinant dans son petit-trou.

  

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les à l’adresse suivante : contact (AT) charmegroup.com et nous les publierons avec plaisir!

  


L’etalon d’Aurore

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Après la lecture de cette incroyable lettre, Elodie et moi sommes restés sans voix quelques instants. Nous la regardions tendrement … une volée de questions se bousculaient dans notre tête mais était-ce vraiment le moment ?

  

C’est Aurore qui parla la première en nous disant d’un ton affectueux : « Elle avait raison, … j’ai besoin des deux, … mais je vais vous raconter l’histoire la plus instense que je n’ai jamais vécue et vous comprendrez que lorque le moment sera venu de faire mon choix, ce sera celui de la nature humaine tout simplement ! »

  

  


Depuis sa plus tendre enfance elle pratiquait le cheval dans un manège à proximité de chez ses parents. Elle avait économisé de nombreuses années pour pourvoir s’offrir son propre cheval, ce qui fut chose faite dès que ses premiers salaires de stagiaire lui permirent de l’entretenir.

  

Depuis toujours, elle avait un et un seul rêve : parcourir les plaines de Camargue les cheveux au vent sur son fidèle destrié. Toute sa famille le savait mais elle devait avant tout réussir l’examen du barreau. Lorsqu’elle fut reçue, sa famille décida, pour la féliciter des efforts consentis, de lui offir un week-end découverte avec un guide pour elle toute seule !

  

Lorsque le jour tant attendu arriva, ses parents l’accompagnèrent avec un van au point de rendez-vous. Elle n’avait pour seul bagage que ce qui tenait dans ses fontes et sa couverture roulée derrière sa selle. Elle ne tenait plus en place en attendant l’arrivée du guide.

  

La belle avocate s’attendait à voir arriver un homme d’âge mur, la peau burinée par le soleil et dont la voix chantante aux accents du sud semblait avoir traversé toutes les épreuves possibles et imaginables !

  

Le seul point sur lequel elle ne se trompait pas était ce merveilleux accent du sud… Pour le reste, son guide avait 21 ans à peine et la peau lisse d’un jouvenceaux, ce qui ne l’empêchait pas d’être déjà un cavalier hors pair.

  

Le garçon s’appelait Marcel et pria la jeune fille et ses parents d’excuser son père qui devait s’occuper de cette randonnée car il avait du prendre en charge un groupe plus important à la dernière minute. Il leur précisa qu’il accompagnait son père depuis plus de dix ans et qu’il ne fallait pas s’inquiéter.

  

Notre merveilleuse conteuse ne se fit pas prier. Elle avait tellement hâte de partir à l’aventure qu’elle prit congé de ses proches en moins de deux minutes puis enfourcha sa monture prète à vivre son rêve jusqu’au bout !

  

Dans les premiers chemins étroits, le jeune homme la précéda et elle ne pouvait s’empêcher de matter son dos musclé qui était aussi agréable à regarder que le beau paysage aux alentours.

  

Sur ces quelques kilomètres son esprit ne pouvait s’empêcher de vagabonder et de lui faire imaginer des situations, de la plus romantique soirée au coin du feu à la baise la plus torride avec ce petit provençal de 5 ans son cadet mais qui l’intérressait de plus en plus !

  

Mais il était bien trop tôt pour s’emballer… c’était le meilleur moyen de gâcher ce moment de rêve. Elle décida donc de saisir l’instant présent tel qu’il venait mais ne pu s’empêcher de faire de son mieux pour mettre en valeur ses atouts. Elle profita donc de sa position pour défaire négligeamant deux boutons de sa blouse et laisser ainsi largement apercevoir son joli soutient-gorge brodé.

  

Lorsqu’arrivèrent les grands espaces, la belle parisienne se porta à hauteur du jeune homme et ils se balandèrent de nombreuses heures « botte à botte ». Elle écoutait « religieusement » tout ce que lui racontait le jeune homme sur cette belle région mais ce n’était pas un grand bavard, il aimait avant tout la quiétude de ces immensités. Mais les charmes de notre amie ne le laissaient pas insensible et ses regards se faissait plus insistants, sans pour autant devenir inconvenants.

  

Elle passa ainsi la journée la plus magnifique de sa vie, partagée entre des moments d’émerveillement presqu’enfantin et des moments de séduction tout en finesse.

  

Le jeune homme était des plus attentionné sans qu’on ne puisse y sentir une quelconque forme de calcul pour la conquérir. Juste le plaisir de partager la passion de son pays avec une personne qui semblait en ressentir les moindres frémissements.

  

Il n’y avait plus que la Camargue, Marcel et elle… !

  

Le beau guide avait prévu son itinéraire pour arriver au soir à une petite écurie aménagée de manière très rustique mais qui leur permettait d’installer les chevaux en toute sécurité, de les nourrir et de les abreuver.

  

Aurore avait un peu de temps devant elle pendant que le jeune homme s’occupait de faire du feu pour préparer un repas tout ce qu’il y a de plus champêtre.

  

Comme elle était couverte de sueur des pieds à la tête, il lui vint une idée ! Elle décida de se refraichir dans l’eau de la rivière toute proche. Le jeune homme trouva cette idée des plus normale et continua à vaquer à sa tâche.

  

La belle blonde se dirigea alors vers cette large et belle étendue peu profonde comme dans ses rêves les plus fous. Elle mourrait d’envie d’y gambader comme un gamine. Aurore ne fit ni une ni deux : elle retira en vitesse ses chaps et ses bottes qu’elle avait reçus en cadeau le matin même pour ne pas les abîmer, puis, couru se rafraichir dans la rivière sans prendre la peine de retirer le reste de ses vêtements.

  

La sage avocate parisienne était bien loin… il n’y avait là qu’une jeune femme émerveillée par les sensations que lui offraient la nature, le bruit des oiseaux et du vent, la fraicheur de l’eau qui faisait dresser ses tétons, son chemisier détrempé qui lui collait à la peau, … Après une bonne demi-heure de petits jeux aquatiques, Aurore sorti de l’eau fatiguée mais détendue de cette belle journée.

  

Elle trouva un coin discret pour terminer de se dévêtir et s’offir une petite séance de bronzette en guise de séchage. Elle étala ses vêtements et ses sous-vêtements sur quelques pierres surchauffées puis s’allongea pour savourer ces instants. Elle nous avoua que l’idée d’être épiée par Marcel vennant admirer de près ou de loin ses belles courbes n’était pas pour lui déplaire.

  

Après une courte sieste, elle entendit le jeune homme qui l’appelait pour venir manger. Les vêtements fins comme son chemisier est ses sous-vêtements étaient secs mais le jeans était loin du compte. Qu’a cela ne tienne … elle voulait le séduire ou pas ?

  

Elle enfila donc ce qui était sec, remis ses chaps et ses bottes en guise de pantalon et se dirigea vers l’écurie en tenant la jeans détrempé sur son bras, faisant mine de dissimuler ses sous-vêtements.

  

Lorsqu’elle arriva près du campement, elle se dirigea vers le jeune homme qui ne la quittait pas des yeux. Elle le pria de l’excuser le temps qu’elle mette sécher son pantalon puis lui tourna le dos en exhibant de la sorte ses merveilleuses petites fesses bien fermes.

  

Elle prit tout son temps pour bien l’étaler et offrir à son guide un spectacle qu’il n’était pas près d’oublier. Elle ne se routournait pas mais ça ne l’empâchait pas de le sentir s’approcher doucement d’elle.

  

Il posa ses mains sur les hanches de sa cliente torride et commença à explorer ce corps presque parfait. La coquine se laissait faire tout en ondulant discrètement son cul d’enfer contre le bas ventre de Marcel.

  

Jamais elle n’avait senti le sexe d’un homme durcir aussi vite. Sans se faire prier davantage, le jeune homme déboutonna son pantalon et le laissa tomber sur ses chevilles, d’un geste vigoureux, il arracha la petite culotte d’Aurore et enfonça son long sexe effilé dans sa chatte gonflée de désir.

  

Dans leur empressement, aucun d’eux n’avait prévu un quelconque moyen de contraception… dans un moment de lucidité, la belle avocate se rappela qu’elle était dans la période la plus risquée mais elle ne voulait pas lacher prise avant d’avoir été comblée, là debout, à la sauvage, par ce beau mâle qui l’avait conduite en quelques mouvements, à peine, à la porte du plaisir ultime !

  

Prète à tout pour être satisfaite, elle pria le jeune homme de s’interrompre un instant, elle s’approcha d’une des selles posée sur un gros billot, s’y appuya en vue d’ouvrir au jeune homme la voie royale vers sa porte de derrière.

  

Marcel, surexcité, approcha sans hésiter. Il posa son gland contre le petit trou d’Aurore tenant fermement son sexe d’une main et de l’autre la hanche de sa partenaire, il s’enfonça vigoureusement en elle lui faisant pousser un énorme hurlement qui mélangait douleur et plaisir intense. Prête à disjoncter, elle lui cria d’y aller bien à fond, elle voulait sentir ses couilles taper sur sa vulve.

  

Après deux ou trois mouvements de vas-et-vient de plus en plus profonds le garçon avait complètement fait la voie. Il commença à onduler délicieusement dans son petit cul bien serré qui manquait à chaque fois de la faire jouir.

  

La moindre des cellules de l’intrépide cavalière entrait en résonance et elle sentait les picotements l’envahir à chaque coup de butoir de Marcel. Réalisant qu’elle perdait le contrôle de son corps, elle s’abandonna aux assaux du jeune provençal et ressentit l’orgasme le plus fulgurant qu’elle n’ai jamais vécu. Les picotements se transformèrent en spasmes d’une puissance incroyable qui la secouèrent de la tête aux pieds arrachant à son partenaire une énorme giglée de sperme qu’il projeta au fond de son petit trou.

  

Sentant ses jambes l’abandonner, la garçon s’effondra sur le sol en admirant Aurore qui enfonçait un des ses doigts dans son petit trou pour l’aider à se remettre de ce premier assaut qui en appelait une multitude d’autres.

  

C’est ainsi que notre invitée surprise nous a dévoilé les secrets les plus intimes qui avaient fait d’elle une épicurienne exacerbée tout particulièrement dans le domaine de la sexualité. Nous étions à la fois émerveillés par sa spontanéité mais nous prenions également la mesure du chemin qu’il était encore possible de parcourir dans la quête des plaisirs corporels mais le voulions-nous vraiment ? Ne risquions-nous pas de faire comme Icare ? L’avenir nous le dira !

  

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Vous trouvez ce récit (envoyé par Erick) plus hard ou plus épicé que ceux qu’on vous offre au quotidien ? N’hésitez pas à laisser un commentaire pour nous faire part de votre avis et nous aider à vous offrir des histoires toujours meilleures. :) Merci d’avance! Si vous voulez contacter l’auteur de cette histoire envoyez-lui un email à l’adresse : erick_elodie (AT) yahoo.fr

La coquine de Sandy

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Bonjour à tous et à toutes. Voici un récit très chaud, écrit par Steven21000 : un utilisateur de notre site qui collabore très gentiment avec notre blog d’histoires érotiques. Bonne lecture et à demain. ;-) Natacha.

  

Dans mon lycée j’ai repéré depuis très longtemps une fille ,en terminale, comme moi. Elle s’appelle Sandy. Comment vous la décrire? Formes parfaites. Belle, ça ne suffit pas du tout, bonne non plus.

  

Métisse aux cheveux longs, toujours en talons aiguilles, son magnifique cul moulé par son jean, son décolleté plongeant donnant sur ses énormes obus, quand on la regarde, c’est dur de détourner les yeux. Vendredi dernier, impossible de détourner le regard des ses formes.

  

La bonnasse s’en rend compte, mais, à ma grande surprise, elle me fixe aussi puis sa bouche de suceuse et ses yeux verts me sourient. Je lui souris également, puis chacun retourne en cours : ça a sonné.

  

Une semaine plus tard, c’est les vacances. Je pars avec mon pote Fred à la mer. Sur le chemin, on dort à l’hôtel. On doit y retrouver sa copine Jeanne.

  

On arrive à l’hôtel. On téléphone à la copine de Fred.

  

Ok, chambre 124. On monte, on sonne.

  

-Salut, salut ! Ca va ? … bref normal
-Les gars, j’ai une petite surprise pour vous. Je suis pas seule !

  

Et alors là, je crois tomber dans les pommes : qui sort de derrière le mur ? Bien sur, Sandy !
-Je vous présente Sandy, une copine, ça vous dérange pas si elle reste avec nous juste cette nuit ?

  

-Pas du tout. (Elle peut rester autant qu’elle veut!)
On se fait la bise. Elle ma reconnu et me fait un petit signe, son doigt devant ses lèvres pulpeuses roses.

  

Je comprend et je lui fait un clin d’œil. Nous ne dirons pas aux autres que nous nous connaissons.

  

Avec Fred, on retourne dans notre chambre. (Chaque chambre de l’hôtel est à 2 lits).

  

L’après-midi passe, on est tous ensembles, puis Fred et sa copine veulent aller faire un tour en amoureux. Pas de problème pour

  

-On revient ce soir, qu’ ils disent. Profitez-en pour faire connaissance! Et ils partent. Il est 14h30.

  

Sans un mot, on se regarde avec Sandy. On se sourit.

  

-Bon, ben on va faire connaissance !

  

-Ouais !

  

On commence à papoter. Comment ça se fait qu’elle soit là, etc. Rien qu’ à l’observer et à l’écouter, je bande comme un fou. Puis on arrive en haut, aux chambres.

  

Avant même que j’aie ouvert la bouche, elle ouvre la porte, me fait entrer et me dit : « Je reviens, j’ en ai pour un tout petit moment ».

  

-Pas de problème.

  

Elle va dans la salle de bain. Toilettes ou quoi ?
J’attends seul dans ma chambre. J’en peux plus, j’ai de plus en plus envie de ma la faire. Je passe ma main dans mon pantalon. Je bande comme un taureau. Puis j’attends, je rêve à de belles choses. Déjà 10 min, puis 15. Insupportable envie. 20 min.

  

Allez, des filles comme ça y’en a pas partout, on est tous seuls jusqu’à ce soir. Je me lève, et j’ouvre la porte de la salle de bain…

  

Un spectacle de fou.

  

Sandy est complètement nue. Elle a juste des portes-jarretelles et des bas. Sa chatte et encore meilleure que ce que j’imginais. La cochonne, assise sur la baignoire, se doigtait, poussant de petits cris. Elle me voit, et s’arrête. Sans réfléchir, je vais vers elle, la met debout, la prend dans mes bras, la regarde, et lui roule une pelle, une pelle comme j’ai jamais roulée à qui que ce soit. Puis, après un dernier smack, je la repose et elle me déshabille. Je l’aide. En même temps, on s’explique :

  

-J’avais remarqué comme tu me regardes, mais ça me plait, moi aussi j’ai envie de toi, je savais que tu allais venir dans cet hôtel, Jeanne me l’a dit, je me sui préparée, j’ai envie de toi, tout de suite!

  

-NIQUE MOI !!! VITE !!!

  

Je suis tout nu maintenant. J’enfonce ma bite dans sa chatte, elle mouille déjà. C’est très agréable. J’entame un va et vien de plus en plus vite. Elle hurle de bonheur  

Je me sens bien comme jamais encore. Qu’ est-ce qu’ elle est bonne !!!!!!!!!!

  

Je défonce, je défonce, en même temps on s’embrasse et je lui presse les seins, elle adore et sourit.

  

Trop de plaisir, je sors mon dard, elle me suce, me lèche, le bout de sa langue calmant mon gland dur comme une pierre. C’est si bon. Je prend ses cheveux, et, sa tête entre mes mains et je la guide. J’ adore, elle aussi.

  

Puis, bien nettoyé par ma bonnasse, je m’assieds sur la baignoire; les jambes écartées. J’adore voir ainsi mes cuisses élargies.

  

-Ma petite salope, c’ est comme tu veux.

  

-Je suis toute à toi, j’ arrive.

  

J’ allais le lui proposer, mais elle a compris et donc pas la peine. C’est son anus qu’elle tripote, il est tout ouvert. Elle s’assoit sur ma verge plus grande que jamais, et c’est parti pour la sodomie. A peine 10 secondes : elle hurle :

  

AAAAAAAAAHHH !!!! C’EST TROP BOOOON !!!! OOOOOOOUUUUUUUUHHHH !!! J’T’ADORE !! J’T’E KIFFE, JE T’AIME !!!

  

Elle a compris, mon gland s’ agite. Et vlan, une petite raflée de sperme dans l’ anus. Je suis au paradis. Je sors vite ma bite. Encore un trait, puis 2, J’éjacule comme une fontaine !!! Je vide mon bon demi-litre de sperme dans sa bouche grande-ouverte, elle me reçusse, puis on continue mais sur le lit de la chambre, en commençant avec un cunnilingus puis on se repose, couchés l’un à coté de l’autre, en se câlinant.

  

Le soir comme prévu rentrent Fred et Jeanne. Ils on l’air ravi. (Moins que nous !)
-Alors vous avez bien fait connaissance ?

  

-Niquel !

  

On se regarde avec ma complice et on se sourit.

  

Chez Sandy, aujourd’hui devenue ma copine, ce sera surtout les orifices que j’aurai appris à connaître !

  

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La premiere sodomie de Cecile

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Résumé de l’histoire érotique : Alex finit son dîner et se lève pour rejoindre sa copine, Cécile, dans la cuisine. Il trouve sa femme toute excitée. Notre ami profite pour la prendre dans ses bras et, une chose en entraînant une autre, elle finit par lui avouer qu’elle veut essayer la sodomie. Ne manquez pas ce récit torride, que notre blog d’histoires érotiques nous propose avec plaisir.

  

  


Je finis mon dîner et rejoins Cécile dans la cuisine. Elle mange d’habitude plus vite que moi et s’en va faire la vaisselle dans la cuisine, pour que tout soit prêt avant de nous coucher.

  

Je la prends dans mes bras, par derrière, pendant qu’elle essuie les verres. Elle est très chatouilleuse et laisse tomber une coupe à vin qui s’écrase par terre.

  

Elle rougit. Je l’embrasse sur la nuque et cela la fait rire. Je lui donne de petits bisous sur les épaules et sur les joues, pendant qu’elle finit d’essuyer les couverts.

  

Ses petites fesses bombées frôlent mon entrejambe et me font bander grave. Je laisse sortir ma bite et baisse son pantalon, pour l’enfiler entre ses fesses toutes trempées de sueur.

  

Cécile laisse échapper un soupir et me prie de continuer. Je glisse ma bite entre ses cuisses, bien au fond et la cochonne se plaît à serrer fort ses jambes pour m’exciter.

  

Je suis vraiment très chaud. Ma copine appuie ses mains sur le plan de travail pour mieux se pencher en avant.

  

Je baisse encore plus son pantalon et, entre ses fesses rebondies, je peux voir un bout de sa foune, toute dégoulinante de mouille.

  

-”Vas-y Alex, ce soir je veux essayer…”

  

-”Tu es sure? “

  

-”Oui, vas-y”

  

Je lubrifie ma bite avec un peu de salive et, écartant ses fesses, j’enfonce ma verge dans son trou du cul, très lentement.

  

Son cul serré s’ouvre très lentement. Je me rends compte qu’elle aime ça car elle ne se plaint que très peu.

  

Je continue jusqu’à ce que mes couilles tapent sur ses fesses. Là je m’arrête un instant, pour que son cul s’habitue à la sensation d’être rempli. Je ne veux pas la brusquer, bien au contraire, je voudrais que ma femme devienne une vraie accro à la sodomie.

  

Contre toute attente, Cécile commence à bouger et me prie de rester immobile. Je lui obéis, pendant que ma jolie femme s’enfourche elle-même sur ma bite, raide comme un pieu.

  

Ça bande très dur mais la cochonne ne semble pas s’en rendre compte. Elle bouge d’avant en arrière comme si ma bite ne lui faisait aucun mal. Je suis surpris et très heureux en même temps.

  

-”Fonce, plus fort, plus fort…”

  

Je n’ai pas le temps de traîner dans mes pensées car Cécile m’oblige à la sodomiser très fort.

  

Mes fluides sortent abondamment et lubrifient son cul, que je viens de dilater assez pour que la pénétration soit très facile.

  

-”Ouiiiiiiiiiiiiii, Aleeeeeeeeeeeeeeeeeeex, vas-y, baise, baise, baaaaaaaaaaaise”

  

Mon adrénaline est au top. J’éjacule quelques gouttes de sperme, sans atteindre l’orgasme, qui m’aident à lubrifier encore plus son petit trou. Cela m’arrive très souvent et Cécile adore avaler mes fluides.

  

Pendant que je la sodomise à la sauvage, ma compagne enlève son t-shirt et je profite pour masser ses nichons magnifiques, durcis à cause de l’excitation.

  

Elle est très chaude et la sueur coule sur tout son corps. J’adore qu’elle se lâche comme ça et, complètement hors de moi, je retire ma bite de son cul pour l’enfoncer dans sa chatte, toute inondée de mouille.

  

-”Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh”

  

Cela lui procure un immense plaisir et la coquine se penche encore plus en avant pour que la pénétration soit plus profonde. Je suis vraiment aux anges et ferme mes yeux pour rêver.

  

Mais Cécile me prie soudain de la sodomiser jusqu’à l’orgasme. C’est confirmé, elle est folle de sodomie ce soir.

  

J’écarte ses fesses de nouveau, et reste un moment abasourdi, devant son trou du cul, si dilaté que j’y glisse mon dard, d’un seul coup, sans la moindre plainte de sa part.

  

Cette sodomie improvisée m’a rendu fou et je me sens très proche de l’orgasme.

  

Cécile me devance, en jouissant très bruyamment, au milieu de secousses très violentes, comme jamais avant.

  

Les muscles de son anus se contractent si fort autour de ma bite que je ne tarde pas à jouir, en inondant son petit trou, de foutre chaud et coulant.

  


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Une sodo vite fait avant de partir

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Résumé de l’histoire érotique : Ameline nous raconte une anecdote torride, qui va nous aider à commencer la journée le sourire aux lèvres. Lorsque notre amie s’apprête à sortir, l’adrénaline la pousse à s’envoyer en l’air avec son copain, au milieu d’une sodo vite fait super hot. Venez lire ce que notre blog d’histoires érotiques a préparé pour nous aujourd’hui.

  

  

Pierrick est censé m’attendre dans la voiture. Je suis en train de me maquiller, à toute vitesse, devant le miroir des toilettes. J’entends mon mec klaxonner, car il déteste arriver en retard.

  

Il a beau perdre sa patience, je ne peux pas me hâter car il faut que je sois bien habillée ce soir. C’est ma première soirée avec les boss de mon entreprise.

  

Soudain, mon rouge à lèvres tombe et ricoche sur le lavabo pour se projeter après sur ma chemise blanche. Quel chaos, j’ai une tache rouge impossible à effacer. Je regarde ma montre et enlève ma chemise pour me changer.

  

Je sors des toilettes pour aller dans ma chambre. Le couloir me semble infini et très sombre car la lumière est éteinte. Tout à coup, quelqu’un sort de l’ombre et se jette sur moi.

  

C’est Pierrick, qui me prend dans ses bras très amoureusement.

  

-On se hâte?

  

-Ben, on va être en retard de toute façon

  

Il m’embrasse sur les lèvres et sa langue coquine cherche la mienne. Au début je ne veux pas de lui. Je suis pressée et très nerveuse, car le temps s’écoule.

  

Mais Pierrick sait comment me rendre folle et, en retroussant ma jupe noire, le cochon tire sur ma culotte pour caresser ma vulve du bout de ses doigts.

  

-C’est si bon, vas-y, profond

  

Il ne se fait pas prier et glisse deux doigts dans ma chatte. Cela me fait mouiller grave car mon adrénaline est au top.

  

Je ferme les yeux pendant que mon mec caresse mon sexe sans aucune pitié. Il titille mon clito avec ses doigts, pour me faire craquer.

  

Je suis vraiment aux anges et le prie de ne pas lâcher prise.

  

-T’es toujours ma petite salope?

  

-Oui, baise-moi, baise…

  

Je ne peux pas parler, car ma respiration s’accélère au fur et à mesure qu’il me tripote avec ses gros doigts, qui liment ma foune si merveilleusement.

  

Pierrick me fait faire demi-tour pour se placer derrière moi car il sait que j’adore par derrière. Je me laisse faire sans rien dire, en écartant grand mes cuisses pour qu’il puisse me pénétrer sans problèmes.

  

Soudain, sentant sa bite chaude palpiter et frotter ma chatte, j’éprouve une envie folle de sodomie. J’ai l’impression que mon petit cul va s’ouvrir aujourd’hui comme jamais avant.

  

-Baise mon cul

  

-Quoi?

  

Pierrick est si chaud qu’il oublie de lubrifier sa bite et me pénètre à sec, d’un seul coup. Je suis tellement excitée que je ne ressens presque aucune douleur. Bien au contraire, en remplissant mon cul, il me fait mouiller davantage.

  

Cette sodo vite fait est formidable et je me penche en avant pour qu’il puisse me pénétrer plus profondément.

  

  

-Ah, ahhh, baise, encore, encore, ah, ahh, ahhhhhh

  

-Ça te plaît? Comme ça? ou comme çaaaaaaaaaaaaaa?

  

Pierrick me défonce sans aucune pitié. Et je m’en fous car ça fait longtemps que je pratique le sexe anal tandis que pour lui c’est nouveau. Aucune de ses ex n’aimait la sodomie et encore moins la sodo vite fait, à la sauvage.

  

Moi, je pense que si on a deux trous c’est pour en tirer un maximum de profit. Donc je suis accro au sexe sous toutes ses formes

  

J’adore quand ses couilles tapent sur mes fesses et sur ma chatte, car cela décuple mon excitation. Mon copain fait de son mieux pour combler mes envies de bite et retire sa verge de mon anus pour me pénétrer de nouveau, bien à fond.

  

Je crie de bonheur, les mains appuyées contre le mur du couloir. Je suis toute trempée de sueur. Complètement hors de moi, je me fous pas mal de ma soirée, de la tache sur ma chemise et de tout ce qui me stressait.

  

Je me laisse aller, sous l’effet magique de cette sodo vite fait formidable, que je n’ai pas prévue.

  

Pierrick ne va pas tarder à éjaculer et je lui supplie d’accélérer ses mouvements.

  

-Je viens…

  

-Vas-y, remplis mon trou…

  

Je sens son foutre chaud remplir mon anus, pendant que les contractions de sa bite diminuent au fur et à mesure que les secondes passent.

  

Je profite pour tripoter mon clito et jouir au plus vite, en priant mon mec de ne pas retirer sa bite de mon cul.

  

Après quelques minutes d’autostimulation, j’atteins un orgasme bruyant, qui me secoue de la tête aux pieds.

  

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Une sodomie torride a la campagne

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite (que vous avez choisie) pour le récit intitulé : Nuit inoubliable avec la sœur de mon pote. Dimanche matin, Vincent et Nathalie profitent pour s’envoyer en l’air afin de se réchauffer. Emportés par l’excitation, nos amoureux pratiquent une sodomie torride que Vincent raconte en détail pour mon blog d’histoires érotiques.

  

  


Notre week-end à la campagne vient de commencer. La première nuit s’est passée sans rien d’intéressant, car nous avions baisé pendant la soirée. Dimanche matin je me lève tôt pour allumer le feu de la cheminée.

  

Nathalie reste à moitié endormie sous les draps. Je vais dans le salon et reviens avec deux grosses bûches et quelques feuilles de journal. Je m’accroupis pour allumer le feu.

  

Soudain, je sens deux mains chaudes qui caressent mon dos et s’appuient finalement sur mes épaules. C’est Nathalie qui vient de se réveiller.

  

La coquine me donne de petits bisous sur le cou. Puis me chuchote à l’oreille des mots que je ne comprends pas mais qui sont sûrement des cochonneries, car elle aime ça.

  

Je ne peux pas éviter de bander au contact de ses mains moites. Elle rit et s’assied sur le rebord du lit, en me priant d’aller vers elle.

  

Je lui obéis. J’ai une gaule d’enfer et Nathalie en profite pour prendre ma bite avec ses doigts et l’enfiler tout doucement dans sa bouche humide.

  

C’est très jouissif. Elle suce ma verge, depuis mes couilles jusqu’au bout de mon gland, en passant par les veines, qu’elle se plaît à lécher avec une gourmandise incroyable.

  

-Je t’ai apporté une baguette pour le petit-déjeuner…

  

-mmm ouiii, c’est très bon, ce gros biscuit…j’adore…mmmmmmmmmmmmmmm

  

C’est amusant en plus. La cochonne astique mon gland très goulûment, en ronronnant comme une petite chatte qu’on gâte avec des caresses.

  

La chaleur monte. Le feu de bois réchauffe la chambre et Nathalie enlève son pyjama, malgré le froid.

  

Elle ne s’arrête pas de sucer ma bite et, de temps en temps, renverse son cou pour m’adresser des regards très séduisants.

  

Tout à coup, la coquine bondit et s’allonge sur le lit, le sourire aux lèvres. Elle est couchée sur son dos et écarte très coquinement ses jambes pour m’inviter à la baiser.

  

On n’a pas besoin de parler. Je me jette sur elle, et, sans plus de préliminaires, j’enfile ma bite dans son sexe. Elle ferme ses yeux et laisse échapper un petit cri.

  

-C’est bon, mmmmmm, c’est très bon….

  

Je la baise à la sauvage, pour bien défoncer cette coquine ivre de sexe. Mes va-et-vient sont si violents que j’entends mes couilles taper sur sa vulve, toute rouge et regorgée de sang.

  

-ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

  

Soudain, la cochonne me chuchote quelque chose à l’oreille. J’hésite un instant et ensuite, comme pris d’un accès de folie, je lui fais faire demi-tour et, crachant sur ses petites fesses, je glisse ma bite dans son anus.

  

-ohhhhhhhhhhh, mmmmmmmmmmmmmm, ahhhhhhhhhhhhhh

  

Ça lui fait mal mais elle me prie de continuer. Son petit cul serré me fait craquer car les contractions musculaires, autour de ma bite, sont très jouissives.

  

C’est ma première sodomie torride avec Nathalie. Elle y prend plaisir à mon avis, et, loin de ralentir, je profite pour y aller de plus en plus vite.

  

-Ohhh, ohhhh, ohhh, ohhhh, ah, ah, ah, ahhhhhhhhhh

  

Heureusement qu’on est seuls à la maison, sinon, il aurait fallu s’abstenir car les gémissements de ma camarade sont impossibles de cacher.

  

Couchée sur son ventre, la cochonne me supplie de ne pas lâcher prise jusqu’à ce que son cul soit complètement ouvert.

  

Je n’arrive pas à croire qu’une fille puisse supporter cette rafale de coups de bite, sans aucune plainte!

  

Ce n’est donc pas un mythe, certaines femmes adorent la sodomie torride et sont vraiment préparées d’avance pour l’anal. Ah, si mon pote savait que je suis en train de dégommer le cul de sa sœur, il ne m’adresserait plus jamais la parole…

  

-Vinceeeeeent, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ahhhhhhhhhhhhhhh

  

Nathalie se tord de plaisir (ou de douleur) et je ne m’arrête pas. Ma bite glisse maintenant comme dans du beurre et son cul est si dilaté que je peux me permettre de la sortir et de la rentrer très vite, comme dans les films porno.

  

Je suis très excité et la prie de contracter son cul autour de ma bite pour ressentir davantage de plaisir.

  

Quel bonheur! Je n’oublierai jamais cette sodomie torride à la campagne. Si ma mère savait comment je suis en train de profiter de sa vieille maison qu’elle ne visite jamais…

  

Je traîne dans mes pensées mais la cochonne me fait tout de suite revenir à la réalité, car (chose étonnante à voir) elle est sur le point de jouir.

  

Je ne comprends pas comment s’est-elle stimulée mais ses saccades musculaires m’indiquent qu’elle vient d’atteindre l’orgasme.

  

Je continue à la pénétrer jusqu’à ce que je sois prêt à lui balancer une bonne dose de foutre dans son anus, qui se dilate pour la dernière fois, en se remplissant.

  

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Christelle est folle de sodomie

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite que vous avez choisie pour le récit intitulé : Fessées chaudes et nuit de folie. Christelle vient de s’envoyer en l’air avec son copain. Elle est pourtant restée sur sa faim et ne résiste pas à la tentation de lui proposer une sodomie torride dans leur chambre. Un récit que je vous recommande vivement, sur mon blog d’histoires érotiques.

  


  

Après le dîner, André va se coucher avec quelques bouquins. Je m’attarde un moment dans la cuisine pour faire la vaisselle. Ce coup vite fait dans le salon a éveillé en moi pas mal d’idées coquines et je suis toujours chaude.

  

Je ne sais pas encore ce que je veux faire mais je sais déjà que ce n’est pas assez pour moi. Je l’imagine en train de me tripoter les seins ou de lécher ma foune et cela me fait mouiller grave.

  

Je finis la vaisselle et monte dans notre chambre. André lit ses magazines et ne me regarde même pas. Je vais aux toilettes et enlève ma jupe et mon t-shirt.

  

Je change de culotte et mets un petit string velouté, dont la ficelle disparaît entre mes fesses. Au moment où je vais mettre un soutien-gorge je laisse tomber et décide de rester les seins nus.

  

Un peu de maquillage et ça y est, je sors des toilettes. Il lâche ses bouquins tout de suite et sourit.

  

Je commence à bouger, au milieu d’un numéro de strip-tease improvisé. André n’en croit pas ses yeux en me voyant danser devant lui, comme une vraie chaudasse.

  

Je lui tourne le dos. J’enlève lentement mon string, en jouant avec la ficelle. Puis, je m’approche du lit et lui permets de baisser mon string.

  

Je mouille grave lorsque ses grosses mains caressent mes fesses et frôlent mon anus. J’ai envie de sodomie mais je n’ose rien dire pour l’instant.

  

André me prend dans ses bras et j’oublie mon numéro, ma danse et tout ce que je fais. Je m’assieds sur lui, pendant qu’on se roule des pelles magnifiques.

  

La langue coquine de mon copain ne cesse de parcourir ma bouche et cela me met dans tous mes états.

  

Puis, le veinard s’occupe de mes seins durcis, qu’il lèche avec une avidité incroyable. Pendant qu’il lèche ma poitrine, ses doigts cherchent par inertie ma chatte et mon petit anus, qu’ils caressent comme s’ils voulaient y entrer.

  

Je le laisse faire, contente qu’il ait deviné que je suis folle de sodomie.

  

J’aimerais bien qu’il me prenne et m’enfourche par derrière mais je trouve que ça peut faire mal. J’écarte grand mes jambes et André sort sa bite, raide et toute trempée de fluides.

  

Il la fait glisser entre mes jambes et pénètre mon sexe humide et chaud.

  

Mais je la sors et, en lui adressant un sourire très coquin, la fais glisser dans mon trou du cul, qui s’ouvre très doucement.

  

Sa bite rentre dans mon cul jusqu’au fond, en me procurant une excitation très intense et une douleur aigüe. Ce mélange de sensations me fait décoller et je m’abandonne complètement au plaisir.

  

Les va-et-vient d’André sont de plus en plus violents mais mon anus est maintenant dilaté et je ne sens plus rien.

  

C’est la sodomie la plus sauvage de ma vie car mon mec profite pour y aller bien à fond, jusqu’à ce que ses couilles tapent sur mes fesses.

  

Je n’arrive pas à comprendre comment il a pu me pénétrer ainsi, sans aucun lubrifiant. Mais c’est très jouissif et je suis très chaude, sur le point de craquer.

  

André change de position, sans sortir sa bite de mon cul. Cela me fait voir toutes les constellations du ciel.

  

-Baise, vas-y baiseeeeeeeee

  

-ahhhhhh, ah, ah, ah, ah, ah, ah

  

Je ne sais pas comment il fait mais il réussit à rendre la sodomie complètement indolore. Je suis aux anges et le prie d’y aller plus vite encore.

  

Je veux qu’il me déboite, qu’il me défonce. Je suis folle de sodomie ce soir et prête à tout pour prendre mon pied comme il faut.

  

Je ne peux plus attendre. Au comble de l’excitation, je jouis au milieu de spasmes musculaires infernaux.

  

Mais, au lieu de continuer jusqu’à l’orgasme, André s’arrête parce qu’il veut garder son sperme pour demain matin, où il compte me faire grimper aux murs, avant de partir au boulot!

  

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Ma cousine nympho est folle de sodo

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Résumé de l’histoire érotique : Marie prie son cousin de la reconduire chez une amie, où elle s’héberge pendant son séjour à Paris. Alain se dit que sa cousine nympho n’en a pas assez eu dans le patio et qu’elle veut reprendre les caresses coquines. Il ne se trompe pas car, à peine a-t-il démarré sa voiture, Marie le prie de la garer pour lui sauter dessus. Ce texte est la suite du récit intitulé : Un coup vite fait dans le patio. que j’avais publié la semaine passée sur mon blog d’histoires érotiques.

  

  


Avant de partir je prends congé de toute la famille. Marie est là et me prie de la reconduire chez une amie, où elle s’héberge à Paris. Elle monte dans ma voiture, le sourire aux lèvres.

  

C’est évident qu’elle veut me dire ou faire quelque chose, après le coup vite fait dans la cabane au fond du patio. C’est bizarre comme sensation, avoir baisé ma propre cousine.

  

Marie met la radio et essaie en vain d’engager la conversation. Je ne me sens pas bavard du tout car je ne sais pas comment arranger ça.

  

Et si elle veut qu’on commence à sortir ensemble, ou bien si elle raconte ça à sa mère ou à ses amies?

  

J’essaie de ne pas trop la regarder pour qu’elle réalise que je suis gêné. Mais Marie semble s’amuser avec mes réactions et, à un moment donné, lorsque je traverse une rue sombre et déserte, elle me prie de m’arrêter.

  

Je gare ma voiture au coin le plus sombre de la rue et ma cousine me prie de lui parler. Je lui raconte tout ce qui m’inquiète et la coquine pousse un petit rire.

  

-Mais, t’es vraiment con ou quoi? Bien sûr qu’on peut baiser une ou deux fois sans que cela ne me gène. C’est sans compromis, on est cousins, on se connaît et on peut profiter pour passer un joli moment ensemble…

  

Ces mots, un peu trop libéraux pour une vierge, m’ont rendu fou. C’est la première fois que j’entends une fille se prononcer pour le sexe sans lendemain, le sexe pour le sexe.

  

Et en plus il s’agit de ma cousine nympho, ce canon de mon sang qui vient de m’offrir son petit minou poilu chez ma grand-mère!

  

C’est le moment le plus heureux de ma vie et pour ne plus l’entendre parler je lui donne un bisou sur les lèvres. Elle riposte immédiatement et m’embrasse un peu partout, descendant vers ma bite, qu’elle commence à astiquer bien à fond.

  

-Tout doucement, tout doux

  

Je ne bande pas tout de suite car je viens d’éjaculer mais la coquine sait très bien comment s’y prendre et voilà, rien qu’en quelques minutes j’ai une érection d’enfer.

  

Elle suce comme une machine, avec une cadence parfaite et je me laisse aller, les yeux fermés.

  

Marie a faim de sexe, ça se voit. Elle ne se contente pas d’avoir perdu sa virginité, elle veut clôturer la soirée avec la cerise sur le gâteau. Le problème c’est que je ne sais pas à quoi elle pense exactement.

  

On va sur le siège arrière pour être plus à l’aise. Ma cousine nympho me prie de la lécher et j’écarte ses cuisses avec plaisir, pendant qu’elle s’allonge sur le dos.

  

Je lui bouffe la chatte un long moment, faisant de mon mieux pour m’ouvrir un chemin au milieu de sa touffe serrée. C’est la première chatte aussi poilue que je vois.

  

Ma langue parvient à parcourir cette vraie forêt amazonienne et à trouver son petit clitoris rose, que je tripote, suce et pompe, pris par une envie folle de chatte.

  

-ahhhhhhhhhhhh, salauuuuuuuuuuuuuuuuuuuud

  

Ma cousine nympho se tord de plaisir et cela m’encourage à la doigter pendant que ma langue s’occupe de sa vulve gonflée de sang. J’adore cette vulve excitée, que j’aimerais combler aussi avec ma verge dure.

  

Soudain, Marie me prie de la baiser. Je sors ma bite et l’enfonce dans sa chatte, sans préavis, mais la coquine me prie de la retirer et de la sodomiser.

  

-Mais, tu sais ce que c’est?

  

-Oui, vas-y, je veux essayer

  

La cochonne veut tout essayer le même soir et bon, puisqu’elle est curieuse, allons-y. Je crache sur ma main et lubrifie la raie de son cul avant de glisser mon dard dedans.

  

Ça fait mal car il est trop serré. Elle se plaint un peu et puis me prie de laisser ma bite dedans pour que le trou se dilate. Je ne peux m’empêcher de rire, car elle sait la leçon par cœur!!

  

-ahhhh, ahhh, ahhhh, ahhhh, ahhh

  

Elle crie pendant que je lime son cul serré jusqu’à ce qu’il soit dilaté. Puis je sors ma bite pour voir le trou noir que j’ai laissé. C’est vraiment grand et je rentre ma verge tout de suite, en la faisant crier encore plus fort.

  

Je suis loin de l’orgasme mais ma cousine nympho se masturbe pendant que je la sodomise. Elle mouille très abondamment et sa respiration devient de plus en plus forte.

  

Elle va surement jouir, je le sens et j’accélère mes mouvements. Mes couilles tapent fort sur ses fesses et ma bite rentre toute entière dans son petit cul chaud et humide.

  

Après quelques minutes de va-et-vient infernal, Marie jouit très bruyamment en m’interdisant de retirer mon dard jusqu’à sa dernière secousse.

  

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Le vibro de ma femme

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite de l’histoire intitulée : Le jouet coquin de ma copine. Alain continue à s’amuser avec le vibro de sa copine sans se douter que la cochonne est consciente de tout ce qui se passe autour d’elle. Ne manquez pas ce récit formidable sur mon blog d’histoires érotiques.

  


  


Sarah dort toujours et je profite pour passer le vibro sur sa vulve toute regorgée de sang. Ses lèvres gonflées sont rouges et son clito palpitant me fait capoter.

  

Elle semble dormir profondément car aucune caresse ne la réveille. Soudain une idée coquine me vient à l’esprit. Sans hésiter, je crache sur ma main droite pour enfiler mon majeur dans son anus serré, qui se dilate à l’instant.

  

Je n’ai jamais doigté son cul comme aujourd’hui car elle n’y oppose aucune résistance et je peux y aller très en profondeur.

  

La chaleur de son trou du cul me rend fou et j’arrête le doigtage pour enlever mon pantalon. Je bande dur et les envies de la pénétrer sont irrésistibles. Pourtant j’aimerais bien finir ce que j’ai commencé.

  

J’écarte encore plus ses jambes et m’agenouille de nouveau à côté d’elle pour stimuler sa vulve avec son jouet.

  

Son corps est brûlant et sa pâleur à laissé place à une rougeur généralisée. On dirait qu’elle fait semblant de dormir…

  

Et je m’en fous car si c’était bien le cas il est évident que mes caresses lui plaisent énormément. J’augmente l’intensité des vibrations et cela lui arrache le premier cri de plaisir.

  

Elle ouvre les yeux et son sourire complice me confirme qu’elle ne dormait pas du tout. Cela me met dans tous mes états et je ne peux plus attendre pour la baiser.

  

Je lui saute dessus et me place entre ses cuisses, prêt à la pénétrer.

  

Mais Sarah lève ses jambes et, prenant ma bite avec ses mains, l’enfile tout droit dans son anus, où ça rentre immédiatement, lubrifiée par mes fluides.

  

J’y vais en douceur jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Une fois que ma verge est toute entière dedans je commence à la retirer de moitié pour l’enfoncer de nouveau.

  

Le bruit de mon pubis tapant fortement sur ses fesses et les gémissements de ma chérie me font craquer.

  

Je ne peux pas éviter de sortir ma bite pour l’enfoncer dans sa foune, car je suis fan du sexe sauvage et pour la sodomie on doit ralentir.

  

Sa foune inondée de mouille est tellement dilatée que ma bite s’y perd en rentrant. Ce n’est pas serré du tout mais la chaleur qu’elle dégage m’excite énormément.

  

Je la baise très fort, avec des va-et-vient très appuyés et Sarah me prie de ne pas lâcher prise.

  

Ahhhhhhhh, encooooooooooooore, encooooooooooore

  

Ses seins durcis par l’excitation ricochent sur sa poitrine et sautent dans tous les sens pendant que je lime sa foune rose et rasée, qu’elle a mis à mon entière disposition aujourd’hui.

  

Soudain, mon regard se détourne de son corps et je vois le vibro sur la petite table du salon.

  

Je souris et lui dis qu’après ce double ramonage de cul et de chatte elle ne retournerait jamais aux sources artificielles de plaisir.

  

Elle sourit et écarte encore plus ses jambes pour que je la pénètre plus profondément.

  

Tout à coup Sarah prend son vibro et l’allume en me lançant un regard défiant. Je ne m’arrête pas de la défoncer et la cochonne passe son vibro sur son clito et sur la base de mon pénis.

  

Ces vibrations font augmenter ma gaule et ma bite grossit encore plus. Je suis tellement chaud que l’orgasme ne tardera pas à venir.

  

Je la préviens et la coquine me prie de la sodomiser encore un moment pendant qu’elle stimule ses lèvres toutes excitées, sur le point d’exploser.

  

Je lui obéis et ma copine atteint l’orgasme quelques secondes après, en se tordant de bonheur.

  

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Elle me prie de la sodomiser

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite que vous avez choisie pour le récit intitulé : Mon coloc coquin me surprend. Annie se sent chaude ce soir et prie son coloc de la sodomiser. Pierre nous raconte ce moment délicieux, que j’ai le plaisir de publier sur mon blog d’histoires érotiques. Bonne lecture

  

  


Je sors de la douche. La salle de bain est toute remplie de vapeur d’eau et j’accroche une serviette à ma taille. Le souvenir de la nuit torride avec Annie tourne toujours dans ma tête.

  

Il faut que je descende préparer mon dîner mais je n’ai pas faim. J’aimerais bien frapper à la porte de ma coloc pour voir ce qu’elle fait, car depuis notre dernière expérience sexuelle on a fait de notre mieux pour nous éviter.

  

Les petits seins d’Annie, durcis par l’excitation reviennent dans mes pensées constamment. Si je rentre dans sa chambre c’est pour l’embrasser sur les lèvres sans plus de préliminaires. Notre relation va forcément changer.

  

Tout à coup, Annie m’appelle. Sa voix vient du salon. En descendant l’escalier de bois, je me demande ce qu’elle veut.

  

En arrivant dans le salon je n’en crois pas mes yeux. Je trouve ma coloc toute nue, allongée sur le canapé. Elle se met debout tout de suite, et vient vers moi, avec un dandinement très sensuel.

  

Je n’en crois pas mes yeux et ma bite réagit en durcissant immédiatement. Cette érection fait une bosse entre mes jambes qu’Annie se plaît à caresser par-dessus mon pantalon.

  

Puis, la coquine passe à côté de moi et, montant très lentement l’escalier, me fait signe de la suivre. Elle s’arrête devant sa chambre et s’agenouille pour sucer ma bite. Sa bouche humide est délicieuse et il me semble que je l’enfile dans un gâteau mousseux.

  

Ma coloc pompe comme une vraie experte et je me laisse faire, fasciné par l’idée d’évacuer le stress de la journée avec une bonne pipe.

  

Annie suce mon dard, lèche mes couilles et se plaît à mordiller légèrement le bout de mon gland, ce qui me procure des sensations incroyables. Je la prie de ralentir un peu car je me sens jouir d’un moment à l’autre.

  

Mais Annie est chaude ce soir et, complètement hors d’elle, me prie de la sodomiser, debout, contre le mur.

  

Cette demande coquine me fait bander encore plus et, en crachant de la salive sur ma main je lubrifie ma bite pour la sodomiser. Sans autre préliminaire qu’un doigtage rapide, j’enfonce mon dard dans son petit cul qui s’ouvre immédiatement.

  

«Ahhhhhh vas-y, ouiiiiiiiii, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!»

  

La cochonne se penche en avant, pour me laisser manipuler ses fesses plus facilement.

  

Je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur son petit cul à croquer. J’écarte ses fesses musclées au milieu desquelles son petit trou se dilate sous l’effet de mes coups de bite bestiaux. Je veux défoncer ce petit cul serré qui me met dans tous mes états.

  

Tout à coup la cochonne me dit de ne pas bouger et, à ma grande surprise, elle commence à s’enfourcher elle-même sur ma verge, avec des mouvements d’aller-retour délicieux.

  

Je risque d’atteindre l’orgasme et la cochonne me prie de la sodomiser encore plus longtemps.

  

Quelle salope. Mes fluides lubrifient son anus, que je lime à très grande vitesse pour la faire hurler de plaisir.

  

«Mmmm encoooore, vas-y, encoooooooooore, ouiiiiiiiiiiiiiii»

  

Ses fesses tapant sur mon pubis Annie se déchaîne et parvient à enfoncer toute ma verge, dans son cul.

  

Sentant ma bite toute entière dedans, ma coloc reste un moment immobile, comme si elle voulait tirer un maximum de profit de cette sodomie inoubliable.

  

Puis la coquine me prie de la sodomiser très fort jusqu’à éjaculer dans son petit trou, ce que je fais à l’instant au milieu de secousses infernales.

  

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi à l’adresse suivante : contact (AT) charmegroup.com et je les publierai avec plaisir!

  

Accro a la sodo

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Résumé de l’histoire érotique : Yannick et Sophie se reposent dans un parc boisé. La canicule est brûlante. Soudain Sophie commence à séduire son homme avec des caresses de plus en plus hot. Venez découvrir cette coquine accro à la sodo que mon blog d’histoires érotiques vous présente aujourd’hui.

  

  


Sophie sourit. Elle est assise en face de moi. La coquine est visiblement chaude et ses seins durcis se dessinent à merveille sous sa chemise.

  

Le parc est presque vide et les autres personnes sont très loin et ne peuvent pas voir ce qui se passe ici.

  

Au début je suis indifférent aux avances de ma copine car je voudrais me reposer et dormir un peu. Mais, petit à petit, Sophie réussit à m’exciter, en retroussant sa jupe pour laisser sa chatte au découvert.

  

Je lui dis de la baisser car les gardiens du parc pourraient nous surprendre mais la cochonne semble décidée à tout risquer cette aprèm.

  

Sous l’effet de ses caresses, je bande grave. Massant doucement mon entrejambe, par-dessus mon short, ma petite-amie fait de son mieux pour augmenter encore plus ma gaule.

  

Elle déboutonne sa chemise et passe de la mayo sur ses nichons, énormément grossis.

  

Ensuite, comme prise d’un accès de folie, elle enfonce son doigt majeur dans sa chatte et le retire tout de suite pour le lécher comme si elle dégustait une sauce délicieuse.

  

L’odeur de sa mouille est très forte et parvient jusqu’à mes narines. Je suis fou.
Je n’en peux plus et me jette sur elle pour l’embrasser sur les lèvres. La cochonne me prie de la sodomise. Long silence.

  

Elle me le redemande et je réagis presque immédiatement en l’invitant à aller sous le feuillage d’un groupe de saules pleureurs.

  

Ma copine accro à la sodo se prépare pour un coup vite fait mémorable. Je lui chuchote à l’oreille ce que je vais lui faire et Sophie laisse échapper un petit rire coquin qui fait battre mon cœur à cent l’heure.

  

Elle m’embrasse sur les lèvres et sa langue coquine tourbillonne dans ma bouche. Sa température monte au point que son visage est brûlant et que la sueur s’écoule sur son visage, on dirait qu’elle a de la fièvre.

  

Et soudain, cette accro à la sodo me supplie de ne plus tarder et de foncer.

  

Je lui fais faire demi-tour et, en retroussant sa jupe, je glisse ma bite raide dans son anus. Son petit trou se dilate sans aucun problème et j’accélère mes va-et-vient qui se font très rapides…

  

aaaaaaaaaaaaaaaaaaa défonce, défoooooooooooooooooooooooonce

  

Ça rentre comme dans du beurre et Sophie se plaît à serrer ma verge avec des contractions musculaires de son cul.

  

Mes mouvements sont de plus en plus appuyés. Je la pénètre à gros coups de bite et la coquine accro à la sodo crie comme une vraie salope.

  

Je la prie de se taire car cela peut attirer l’attention des gardiens. De toute façon la peur qu’on nous découvre a fait monter mon adrénaline au top.

  

Les arômes de la nature se mêlent à l’odeur de sa chatte en feu et cela décuple mon excitation.

  

mmmmmmmmmm, encore, encoooooooooooooooore

  

Ma copine ferme ses yeux et se laisse aller, sans aucune limite.

  

Je prie Sophie de se pencher légèrement en avant pour y aller plus en profondeur en sorte que mes couilles tapent sur ses fesses musclées.

  

Je suis si hors de moi que l’orgasme menace d’arriver d’un moment à l’autre. Je ralentis donc mes ébats pour ne pas éjaculer tout de suite mais la jouissance est presque impossible à retenir.

  

Je viens. Secoué par un orgasme infernal je lui balance tout mon foutre chaud.

  

Quelques secondes après, ma coquine accro à la sodo jouit très bruyamment, les jambes bien écartées.

  

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi à l’adresse suivante : contact (AT) charmegroup.com et je les publierai avec plaisir!

  

Deguisee en universitaire coquine

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Résumé de l’histoire érotique : Annie est décidée à surprendre son mari. Elle se déguise en universitaire coquine et monte dans sa chambre pour l’exciter. Ne manquez pas ce récit formidable sur mon blog d’histoires érotiques.

  

  

Je finis vite mon dîner. Je vais tout de suite dans ma chambre car je suis vraiment épuisé ce soir. Je m’allonge sur le lit. Au moment même où mes paupières commencent à se fermer, je vois Annie qui entre et me parle d’une façon bizarre.

  

Au début, tout est confus. Je lui dis de me laisser tranquille car demain je dois me lever de bonne heure.

  

Mais elle semble décidée à me réveiller. Elle me parle très coquinement et, contre toute attente, baisse le pantalon de mon pyjama pour laisser ma bite au découvert.

  

Comme prise d’un accès de folie, la cochonne commence à sucer mon gland immédiatement.

  

Sous l’effet de ces caresses torrides je finis par ouvrir les yeux. Mais qu’est-ce que tu fais? À ma grande surprise, elle s’est déguisée en universitaire coquine, avec deux petites couettes.

  

Ma femme a mis une mini-jupe magnifique, qui me laisse mater un bout de ses fesses musclées, qu’elle entraine tous les jours à la gym.

  

Son micro string à ficelle rentre à fond dans son cul et cela me fait bander grave. Je ne l’avais jamais vue aussi chaude!

  

Je me laisse faire pendant quelques instants et profite du spectacle formidable qui s’offre à mes yeux. A quatre pattes, sur le lit, Annie astique ma verge à gros coups de langue en bavant abondamment sur mes couilles.

  

Puis, une fois que ma bite est raide, mon universitaire coquine se met debout et fait semblant de dire sa leçon. Elle signale un tableau imaginaire accroché à l’armoire.

  

Elle avait tout prévu la cochonne!

  

Mon étudiante préférée fait une récrée pour revenir à côté de moi. Elle s’assied sur le rebord du lit et, en prenant ma bite entre ses mains, reprend sa tâche et l’enfonce toute entière dans sa bouche.

  

-«M. le professeur, je n’ai pas été sage car j’ai sucé un copain…»

  

-«Voyons donc, je vais te punir, passe au tableau Annie!»

  

La cochonne m’obéit sur le champ. Je la prie de se mettre debout contre le mur, et de me tourner le dos. Son joli cul, éclairé par la lumière tamisée de la chambre, me fait craquer.

  

Je me lève et, sans crier gare, écarte grand ses fesses pour glisser mon dard dans son anus. Son petit trou se dilate à l’instant. Quel plaisir. Nous pratiquons très souvent la sodo et Annie y est accro.

  

-«Ahhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiii mon prof! Défoncez-moi, j’adoooooooooore»

  

Ma copine joue si bien son rôle d’universitaire coquine que je risque d’éjaculer d’un moment à l’autre.

  

En général, je n’aime pas les jeux de rôles mais cette mise en scène est si excitante que je m’y laisse aller.

  

Complètement hors de moi, mes va-et-vient se font de plus en plus violents. Je défais ses couettes et ses cheveux longs tombent sur ses épaules.

  

Je n’en crois pas mes yeux en voyant à quel point cette universitaire coquine a éveillé en moi le désir. Je me fous pas mal du boulot, de mon réveil demain matin, des voisins.

  

Je ne suis qu’un professeur pervers en train de sodomiser sa meilleure élève.

  

Annie gémit très fort lorsque je retire ma bite de son cul pour la glisser dedans à nouveau, d’un seul coup, sans aucun lubrifiant.

  

Ses seins durcis rebondissent contre le mur à chaque fois que je la pousse en avant. Ma copine ne cesse de crier…

  

«Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, allez, encooooooooooooooooooooooooooore»

  

Soudain, la coquine jouit, au milieu de secousses infernales. Quant à moi, je continue à limer son petit trou, jusqu’à lui balancer tout mon foutre dedans.

  

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Shopping et piscine

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Salut tout le monde. Voici un récit coquin écrit par Sly : un utilisateur qui collabore très gentiment avec mon blog d’histoires érotiques. Si vous voulez savoir plus sur lui, n’hésitez pas à visiter son site perso ;-) . Natacha.

  

Tout commença par un samedi après midi ou nous étions en train de faire les soldes dans une grande surface, alors que nous étions dans le rayon vêtement femme, nous recherchions un joli ensemble en lingerie pour ma belle, lorsque nous arrivâmes aux maillots de bain

  

Les modèles étaient sympa très colorés aussi bien en une pièce qu’en 2, j’avoue que j’adore la reluquer sans limite lorsque elle se met en maillot car cela moule ses formes pulpeuses que je désire tant.

  


Je crois que c’est lorsqu’elle se ballada chez moi en maillot que pour la première fois j’eu envie de la prendre sans préambule, juste en l’emmenant sur mon lit et la prendre sans ménagement en levrette.

  

D’ou ces instants qui m’excitaient rien que d’imaginer le plaisir que j’aurais de prendre possession de son intimité.

  

Mais trêve de rêverie, ma douce me demanda mon avis entre 2 modèles 2 pièces, je lui fit part de ma préférence et la voici en route vers la cabine d’essayage…

  

Alors que je regardais les autres modèles, je me délectais de la douceur de la matière de celui qu’elle avait choisi et je sentais mon jean se remplir d’une érection bien gonflé.

  

Je rejoignis les cabines, imaginant le résultat de l’essayage et imaginant tous les jeux coquins auquels nous pourrions nous adonner si elle s’y sentait à l’aise (branlette espagnole, levrette sur les marches de la piscine…), que du plaisir qui nous attendait.

  

Une nouvelle fois je fus interrompu par la vendeuse qui me signala que ma douce attendait mon avis.

  

Je m’approcha donc de ma belle qui était parfaitement mise en valeur au niveau de sa poitrine généreuse, laissant un décolleté qui en aurait fait décollé plus d’un alors que le bas moulait à merveille son cul.

  

Je sentais ma bite de plus en plus à l’étroit et je crois que sur l’instant si la cabine m’avait permis de nous retrouver un peu plus tranquillement, j’aurais offert ma queue bien droite à sa bouche gourmande pour un instant coquin mais ça serai pour plus tard…

  

Je pensais que le retour serait sage, mais ma coquine n’avait rien manqué du spectacle qui se jouait dans mon jean et à peine la voiture sur le chemin du retour que de sa voix sensuelle agrémenté de son regard coquin elle me dit “j’ai l’impression que cet essayage t’a plu”, joignant le geste à la parole elle déboutonnaient déjà mon jean pour accéder à mon membre bien dur et humide…

  

Ses allers retours faisaient montés la température encore d’un cran, et très vite l’envie d’aller nous baigner germa notre esprit.

  

Quel plaisir de savoir que dans quelques minutes je pourrais mater et abuser de ses courbes généreuses sans retenue ou presque car ses parents devraient être dans les environs.

  

Elle maintenait ma tige en forme tout en prenant soin de ne pas atteindre l’extase…

  

Enfin nous arrivions un passage éclair par la salle de bain chacun d’entre nous puisse se changer, et hop direction la piscine, alors que j’entrais progressivement dans l’eau, elle me rejoignit son corps dissimulé par un paréo, juste une dose de mystère supplémentaire avant qu’elle ne baigne

  

Je me lance, du pur bonheur en cette chaude après midi alors qu’elle descend les marches, déjà je sens ma queue reprendre forme, et mes doigts s’activent au travers du tissu

  

J’adore ce décolleté généreux mais je crois que ma préférence va au plaisir de venir placer mes mains sur ses fesses pour alterner les caresses au dessus et au dessous du tissu, pour venir la plaquer contre moi.

  

Nos lèvres se rencontraient déjà alors que nos corps s’effleuraient nos mains se rejoignaient afin de nous laisser porter par l’eau, mais nous ne pouvions totalement nous lacher car belle maman était dans les parages

  

Soudain, ma coquine me repoussa contre un rebord dos à la terrasse et dirigea ses mains vers mes fesses afin de pouvoir faire remonter ma queue vers la surface, elle me malaxait de haut en bas mon sexe qui gonflait encore d’excitation

  

Puis sa bouche prit la suite de ses doigts pendant quelques minutes alors que je marquais le rythme en appuyant sur sa nuque

  

Mon jus perlé et dégouliné sur sa langue, son regard s’était intensifié plus de femme mais une vrai gourmande qui au fond d’elle ne ressentait qu’une envie celle de se faire remplir la chatte par une queue bien dure…

  

C’est pour cela que sa bouche abandonna ma tige pour laisser descendre ses mains afin d’ouvrir le chemin vers sa chatte qui devait être en feu, à peine me présentais je à l’entrée qu’elle s’enfila sans difficulté tellement elle était humides et rien a voir avec la piscine je peux vous l’assura

  

Ses yeux trahissaient son plaisir de se sentir posséder, mes mains posées sur ses hanches étaient descendues vers son petit trou et le titiller afin de décupler encore son plaisir

  

Ses soupirs toujours plus fort laissaient entrevoir un nouveau chemin pour nous coquineries.

  

Désormais je m’étais redressé et ma complice s’était laissée portée par l’eau tout en ouvrant largement ses cuisses pour m’ouvrir l’accès à sa rondelle encore étroite, elle saisit ma queue afin de la guider vers l’entrée de sa grotte.

  

Je la laissais prendre appui de ses mains sur les marches et mener l’introduction de ma tige en elle, mon gland grandissait encore au contact de son anneau et malgré lexcitation mon gland avait du mal a entrer mais le désir de se faire sodomiser est le plus ford et elle fini par m’avaler

  

Centimètre par centimètre, l’objet de ses désirs déchirait son petit trou et la légère douleur fut vite oublié tant le plaisir ressenti par nos corps et les vibrations de la fusion nous réjouissaient

  

Je la faisais coulisser le long de ma queue en la maintenant par les hanches, nos rales de plaisir étaient incontrôlable peu nous importait l’environnement et les risques, seul notre plaisir

  

Soudain je ressentis à la contraction de son corps qu’elle venait de jouir par sodomie ce qui me fit déchargé dans un soupir intense

  

J’adore ces instants coquins savoureusement développé ou l’excitation monte progressivement jusqu’à l’explosion finale

  

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Vous trouvez ce récit (envoyé par Sly) plus hard ou plus épicé que ceux que je vous offre au quotidien? N’hésitez pas à laisser un commentaire pour me faire part de votre avis et m’aider à vous offrir des histoires toujours meilleures :) . Merci d’avance!

  

Une brune coquine insatiable

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Résumé de l’histoire érotique : Paul arrive à Marseille et il fait nuit, il s’endort tout de suite après avoir envoyé un message à Amélie sur son portable. La brune coquine lui répond et ils se rencontrent le lendemain dans l’après-midi pour vivre une expérience inoubliable. Venez lire la suite du récit intitulé : Une ancienne copine super sexy, sur mon blog d’histoires érotiques.

  

  


Le train arrive à Marseille et il fait nuit. Je descends tout de suite et prends un taxi jusqu’à l’hôtel.

  

Je regarde ma montre plusieurs fois juste pour constater qu’il est trop tard…pour l’appeler. J’ai sommeil mais je ne peux pas m’endormir avant de lui envoyer un message sur son portable.

  

-Je suis à Marseille. Demain entre midi et 17 je suis libre. On boit un café?

  

Je m’endors tout de suite, complètement épuisé. Le réveil sonne et il est sept heures et demi du matin. Je vois un message non lu sur mon portable :

  

-passe me chercher midi trente place Jean Jaurès

  

C’est très excitant tout cela, je m’habille vite pour aller au congrès. Le matin passe rapidement. À l’heure du déjeuner, je prends congé auprès de mes collègues pour aller la rejoindre.

  

Le temps est splendide et le soleil brille. Il fait chaud et j’enlève ma veste grise, ça y est, j’ai accompli la première partie ennuyeuse de la journée.

  

Je prends un taxi. Amélie m’attend assise sur un banc. Tous les passants se retournent pour la regarder, c’est un vrai canon. Elle a mis un jeans noir moulant et une chemise blanche au décolleté ouvert.

  

Les cheveux attachés à l’arrière elle sourit en me voyant venir. J’ouvre la portière du taxi et la coquine monte dans la voiture.

  

Contre toute attente, elle me prie tout bas, à l’oreille de l’amener à l’hôtel. Je ne peux pas éviter de sourire.

  

Dans la voiture j’ai du mal à maîtriser mes envies de la caresser ou de la prendre par la main.

  

Je sais exactement ce qui va se passer dans ma chambre mais je ne comprends pas pourquoi elle fait ça.

  

J’ai l’impression qu’elle fait ça pour vivre une aventure excitante et se soustraire un moment au joug de son mari, un imprésario de la mode que j’imagine plus âgé qu’elle et très ennuyeux.

  

Arrivés à l’hôtel, nous montons l’ascenseur pour arriver au troisième étage. Soudain, la brune coquine me donne un petit bisou sur la joue juste au moment où la porte de l’ascenseur s’ouvre.

  

Elle a la clé de la chambre et agit de façon très froide, on dirait qu’elle a tout calculé d’avance.

  

Je ne peux pas détourner mes yeux de son corps magnifique et de ses courbes généreuses.

  

-Tu vas entrer?

  

-Je franchis le seuil de la porte et la referme très violemment, mon cœur bat à cent l’heure et je ne peux plus attendre.

  

C’est la première fois qu’une femme me drague et m’amène dans un hôtel. Je bande dur et mon ancienne copine du lycée s’assied sur le rebord du lit, en riant.

  

-Tu n’as pas l’air épanoui, tu es nerveux?

  

Non, non, je….je reviens tout de suite…

  

J’entre aux toilettes pour reprendre haleine. Je suis nerveux, fou, méfiant, je ne sais pas, faut-il vraiment lui faire confiance?

  

Je bande comme un fou mais je ne peux pas me laisser guider par ma bite, ou plutôt si? Je jette de l’eau chaude sur mon visage et enlève mon pantalon et ma chemise.

  

Je sors en sous-vêtements…

  

-Mais qu’est-ce que ….

  

Amélie est allongée sur mon lit, toute nue. Ses yeux dévorent mon corps et son regard puissant écrase mes doutes.

  

Je marche lentement jusqu’au lit où ma brune coquine m’attend sans bouger.

  

Je m’allonge sur elle, je sens ses mains sortir ma bite par la fermeture de mon boxer et zut, elle l’enfonce dans son vagin tout de suite sans plus de préliminaires.

  

Ses jambes écartées frôlent mes cuisses et cela augmente mon excitation. Au début je me limite au missionnaire mais peu à peu, je me rends compte que ce corps féminin magnifique est là pour me gâter.

  

Je retire ma bite et recommence, cette fois-ci avec plus d’assurance. Je descends pour la lécher en écartant les lèvres pulpeuses de sa chatte avec mes doigts.

  

Elle crie, hurle de plaisir et se tord comme une vraie contorsionniste. Je regarde vers le haut et vois ses seins, parfaitement ronds, comme je les imaginais, avec de petits tétons parfaits, ciselés par la main habile d’un chirurgien.

  

Je me demande qui a fait ce travail hors du commun, qui a osé travailler sur ce corps de femme délicat et parfait.

  

Je plonge ma tête entre ses jambes sans m’arrêter de tripoter son clito avec ma langue. Puis quand ses gémissements sont entrecoupés, je lui fais faire demi-tour pour la sodomiser.

  

Je crache sur ses fesses et les écarte pour que la salive visqueuse coule entre elles.

  

Ensuite je laisse glisser ma bite dans son anus, qui se dilate immédiatement.

  

Amélie se retourne mille fois sous mon corps mais je ne la lâche pas. J’y vais doucement mais surement sans lui laisser le temps de se remettre de cette surdose de plaisir.

  

Pour moi aussi c’est très jouissif mais cette brune coquine doit apprendre qu’on n’allume pas un mec pour rien.

  

Elle m’a cherché, elle a voulu avoir ce contact intime et voilà, j’ai le droit de prendre mon pied, comme je l’aime.

  

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

  

Elle me prie de doigter sa foune en même temps.

  

Je lui obéis pendant que la cochonne d’Amélie atteint un orgasme bruyant et très violent qui me fait éjaculer après deux minutes de contractions spasmodiques de son anus.

  

Voici la suite de ce récit magnifique : La vidéo amateur que j’ai reçue.

  

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Sodo dans la cuisine

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Résumé de l’histoire érotique : Lynda et Francis, notre couple coquin, reviennent pour nous faire craquer. Ils nous racontent une histoire érotique super chaude qui s’intitule : une sodo dans la cuisine. À ne pas manquer mes loulous!

  

  


Je sors de la voiture très vite, après l’avoir rentrée dans le garage. Je suis très chaud et ouvre la porte qui mène à l’intérieur de la maison.

  

Je ne peux plus attendre car ça fait déjà quelques jours que je ne baise pas. Lynda me regarde venir et sourit.

  

Elle sait très bien ce que je veux mais ne vient pas vers moi, elle m’attend debout, dans la cuisine, en silence.

  

Je contourne le plan de travail, placé au milieu de la cuisine, pour aller jusqu’à elle. Ses mains entourant mon cou, je l’embrasse sur les lèvres un long moment.

  

L’érection est immédiate et ma bite soulève le tissu lâche de mon pantalon. Lynda le remarque et sourit, d’une façon très coquine.

  

-Tu veux le faire tout de suite?

  

-Oui, il faut…

  

-D’accord mais la cuisine c’est mon territoire, n’oublie pas ça

  

Elle ferme la petite fenêtre qui donne sur la cour arrière pour isoler le bruit et enlève son t-shirt pour laisser ses petits seins au découvert.

  

Puis, en s’asseyant sur le plan de travail me fait signe de venir vers elle. Je dois courber mon dos pour atteindre ses seins, qui se redressent très vite, sous l’effet de mes coups de langue mouillés.

  

-ouiiiiiiii, vas-y, encore…

  

Je lèche ses seins en tripotant ses tétons durcis avec le bout de ma langue. Cela la fait crier de plaisir.

  

Pendant que je m’occupe de ses nichons la coquine déboutonne son jeans et glisse sa main dessous.

  

Je la regarde se toucher du coin de l’œil, quelle coquine elle semble s’éclater pas mal avec ses doigts dans sa foufoune.

  

De ma main libre j’ouvre la fermeture de mon pantalon pour laisser sortir ma bite, raide et dégoulinante de fluides.

  

-Je veux que tu me gâtes avec ça… dit-elle en prenant ma bite avec sa main.

  

-Comment ça? Je veux qu’elle me dise quoi faire, cela m’excite grave.

  

Elle enlève son jeans et descend du plan de travail. Puis, en écartant grand ses jambes et un peu penchée en avant me prie de m’approcher.

  

Après ça, la coquine prend ma bite et l’enfonce dans son petit anus, au milieu de gémissements déchirants.

  

Elle est folle de sodo ce soir et ses mouvements saccadés en disent long sur son excitation. J’aimerais bien savoir pourquoi elle a voulu par le cul…

  

-ooooooooooooooooooooooh ça fait mal

  

-C’est booooon, mmmmmmmmmmmmm

  

-Ne bouge pas! me dit-elle en s’enfourchant elle-même dans ma bite à une vitesse incroyable. C’est une sodo très jouissive pour moi et en plus je ne dois rien faire. Super…

  

Ce n’est pas la première fois que je la sodomise mais là, elle semble avoir dilaté énormément son anus pour y aller à tout va.

  

Je me demande si elle a acheté de nouveaux jouets mais dans le fond je sais déjà la réponse. Lynda n’a pas de limites à l’heure de s’éclater et c’est bien cela qui m’a retenu toutes ces années auprès d’elle sans la moindre infidélité.

  

-Bouge, bouuuuuuuge….

  

Je lui obéis et commence à la pénétrer très vite en sortant et en rentrant à fond dans son cul.

  

Lynda masse sa chatte pendant que mes allers-retours se font de plus en plus appuyés jusqu’à ce qu’un cri de plaisir m’annonce qu’elle a atteint l’orgasme.

  

Immédiatement après l’avoir entendu gueuler, j’enfonce ma bite dans son petit trou pour l’inonder de foutre chaud et dégoulinant.

  

Puis, je ressors mon pénis, content d’avoir accompli le fantasme de ma femme, une sodo dans la cuisine.

  

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Mon cadeau d’anniversaire

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Salut tout le monde, voici une histoire écrite par Pablo, un contributeur de mon blog d’histoires érotiques. Bonne lecture. Natacha.

  

Aujourd’hui te raconte la soirée de mon anniversaire qui est un peu spécial du faite que ma belle et adorer petite femme férial c’est donner du mal a me préparer un très beau et bon diner que je penser être un somptueux tête a tête mais en passant dans la salle a manger j’ai constater qu’il y a un couvercle de plus sur la table.

  

J’ai pensé qu’elle avait invité notre ami l’étalon noir c’est comme ça que nous l’avons surnommé ,et j’ai été un peu mal à l’aise car il allait être la personne qui va dominer notre soirée.

  

Je ne voulais pas demander qui été l’invité car elle faisait comme si rien n’était car notre black est devenu un membre à part entière dans notre couple, soudain on sonne à la porte!

  

Mon cœur battait de plus en plus vite, Férial me lance du fond de la cuisine:

  

Chéri , tu ouvres?

  

J’ai pris mon courage et je me suis dirigé vers la porte, j’ai posé ma main sur la poignée de la porte et je l’ouvrit violemment.

  

Quelle n’a été ma surprise en voyant sur le seuil de la porte ma belle sœur, la plus jeune des quatre sœurs de ma femme. Avec ses 25 ans, son très joli 85 c et son 1.75, elle était sublime. Elle me fit la bise et je l’invitai à entrer en disant :

  

Chérie devine qui est là?

  

C’était elle l’invité ,après le diner nous nous sommes dirigés vers le salon pour siroter notre thé à la menthe.

  

Soudain on a éteint les lampes et j’ai pensé : le gâteau est arrivé ,et quelle n’a été ma surprise quand ma femme me présenta sa sœur en la tenant par la main et en me disant : bon anniversaire mon amour c’est elle ton cadeau pour toute la nuit.

  

Je suis resté la bouche bée, paralysé sans que je puisse faire un seul commentaire, Lilya c’est le prénom de ma belle sœur.

  

Elle s’approche de moi et s’agenouille entre mes jambes et sans trop tarder elle pose ses lèvres pétillantes sur les miennes et me fait un langoureux baiser et me souhaite un agréable anniversaire.

  

En même temps elle pose sa main sur mon dard qui commença à prendre une raideur très prometteuse.

  

Me trouvant dans une telle opportunité avec l’aval de ma femme , j’ai commencé à déboutonner mon pantalon et Lilya finit par faire sortir mon dard tout chaud et brulant quelle ne se retient pas à le faire enflammer par l’une des plus belles fellations qu’on m’a jamais faite.

  

Même ma femme est restée scotche par l’are et la manière avec la quelle sa sœur s’appliquais a sucer ,lécher en faisant des gorges profondes je ne pus me contrôler.

  

C’était une sensation qui me déstabilisa et elle le savait bien car d’un seul regard de sa part j’ai compris qu’elle voulait que je lui lance tout mon sperme bien chaud au fond de sa bouche et ce que j’ai fait volontiers en prenant soin qu’elle avale tout ce bon jus.

  

Mais ma femme ne s’arrête pas à ce stade et me chuchote à l’oreille que sa sœur est vierge et c’est une vraie diablesse en sodomie.

  

C’était la première fois ou j’ai bandé presque instantanément après mon premier orgasme ; je la pris dans mes bras et je la serre toute contre moi en la couvrant de baisers plus que torrides.

  

En me tenant juste derrière elle je l’embarrassais au cou et lui léchais avec le bout de ma langue toute chaude les lobes de ses oreilles et la petite salope se frottait les fesses de droite à gauche et de haut en bas contre a verge bien raide ,elle n’en prouvait plus et me supplia : STP DÉFONCE MOI LE CUL.

  

C’était les mots qu’elle ne fallait pas prononcer ,car elle n’a pas eu le temps de réaliser que je les entendis que je me suis exécuté en la plaquant sur la table pour la plomber d’un coup sec, suivi d’une rafale de va et vient sans répit jusqu’au moment où elle lança un cri extraordinaire lors de son orgasme et me supplia de lui remplir son cul de mon néctar.

  

Et c’est ce que j’ai fait en embrassant ma femme pour ce cadeau inoubliable.

  

Précision: pour ma belle sœur de 25 ans et vierge c’est tout à fait normal chez nous en Algérie car les traditions veulent que la femme reste vierge jusqu’à sa nuit de noces ; alors les pauvres elles n’ont pas le choix que de jouir que du côté recto et le verso reste en liste d’attente.

  

Bonne nuit et à la prochaine, j’attends des critiques de votre part, elles sont les bienvenues
bisou!

  

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi à l’adresse suivante : contact (AT) charmegroup.com et je les publierai avec plaisir!

  

Vous trouvez ce récit (envoyé par Pablo) plus hard ou plus épicé que ceux que je vous offre au quotidien? N’hésitez pas à laisser un commentaire pour me faire part de votre avis et m’aider à vous offrir des histoires toujours meilleures. :)

  

Sodomie torride chez le garagiste

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite du récit intitulé : Attouchements sexy au garage. Hélène est de plus en plus chaude et embrasse le garagiste sur les lèvres. Soudain, une chose en entraînant une autre nos protagonistes se déshabillent pour passer à l’acte. Venez découvrir cette sodomie torride, publiée sur mon blog d’histoires érotiques. Bonne lecture!

  

  

Je suis de plus en plus chaude, pendant que la main du garagiste caresse mon entrejambe en feu. Je ferme les yeux et gémis au fur et à mesure que ses doigts frôlent les lèvres de ma chatte, toutes gonflées de sang.

  

Puis je plaque mon corps contre le sien pour sentir sa bite palpitante, grosse et verticale, retenue par un shorty que j’imagine très excitant.

  

C’est la première fois que je me laisse aller comme ça et l’adrénaline court dans mes veines et m’oblige à vaincre ma timidité.

  

J’ouvre la fermeture de sa salopette et le cochon se déshabille avant moi. Je vois son shorty bleu foncé sali au niveau de l’entrejambe à cause de ses fluides.

  

Je m’agenouille pour le sucer immédiatement, car le temps presse et je suis très excitée. En baissant son shorty je découvre que sa bite n’est pas droite et pointe légèrement vers le côté droit.

  

Je le masturbe un instant avant d’enfoncer cet engin dans ma bouche, ma joue droite se gonfle à chaque fois que je le suce, au milieu de petits soupirs que le garagiste laisse échapper.

  

-Vas-y Hélène, profond, profond…

  

Je le suce de plus en plus vite, en essayant d’enfiler tout son membre raide dans ma bouche.

  

Soudain, il me fait mettre debout et enlève mon pantalon à la vitesse de l’éclair. Je me laisse faire et manipuler comme si j’étais sa poupée gonflable.

  

Il m’excite tellement que je pourrais tout faire ce soir, au garage, je ne refuserais aucune pratique, même les plus crades.

  

Il me fait faire demi-tour et avant même de comprendre ce qui se passe, une grosse bite entre dans ma chatte et me comble au point de me faire crier de plaisir.

  

Ses va-et-vient sont très forts et il me pousse en sorte qu’on finisse par se plaquer contre un mur. J’appuie mes deux mains contre le mur gris du garage pendant que mon ami me baise par derrière, bien à fond, en respirant près de mon cou.

  

-ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

  

Je suis aux anges pendant que ce garagiste m’aide à me détendre, à calmer cette soif de bite et de sexe qui m’assaille depuis quelques jours.

  

Je trouve que quand on est en manque on finit toujours par le montrer aux autres, de quelque manière que ce soit.

  

Soudain, il trempe sa main dans un pot de graisse à voiture et en enduit le sillon entre mes fesses. Avant même que je puisse réagir, il sort sa bite de mon nid d’amour pour l’introduire dans mon anus, d’un seul coup.

  

-ohhhhhhhhhh

  

Je pousse un cri de surprise mais je n’ai pas le temps de protester contre cette sodomie.

  

Ça ne me fait pas mal, bien au contraire, cela me produit un immense plaisir, surtout quand il y va bien à fond en tapant sur le derrière de ma chatte avec ses couilles.

  

Je ferme les yeux pendant que la sodomie continue, en essayant de ne pas trop y penser car dès que j’imagine sa grosse bite dans mon anus, j’ai des frissons.

  

Ce n’est pas la première fois qu’on me pénètre par derrière mais quand même, dans un garage et sans préavis, ce n’est pas facile.

  

-T’aimes ça ma coquine?

  

-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, mais que ouiiiiiiiiiiiii

  

Il y va très, très vite et je le sens prêt à éjaculer. Le cochon du garagiste ne tarde pas à inonder mon petit trou de sperme dégoulinant qui en ressort tout en trempant mon jeans baissé et mes chaussures.

  

Après cette sodomie mémorable je pars, sans savoir exactement si ce coup vite fait a été le début de quelque chose ou s’il a servi tout simplement à apaiser mon rut.

  

Voici la suite de ce récit, intitulée : Une fille coquine dans la cuisine.

  

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Moment de sexe anal inoubliable

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Résumé de l’histoire érotique : Voici la suite de l’histoire intitulée : Cunni formidable à l’hôtel. Notre couple clandestin continue à s’envoyer en l’air dans une chambre d’hôtel, mais après le cunni, ils passent à la pénétration et au sexe anal comme si de rien n’était. Ne manquez pas ce récit émoustillant et torride sur mon blog d’histoires érotiques.

  

  

Élise se laisse pénétrer sans aucun problème. J’y vais très doucement mais jusqu’au fond, en essayant de ne pas la brusquer.

  

Couchée sur le ventre, ma brune se laisse faire en gémissant doucement, pour m’encourager à y aller de plus en plus vite.

  

Sa chatte est complètement dilatée et ça rentre sans aucune entrave. Elle est tellement humide et chaude que ma bite durcit encore plus.

  

C’est ce qui m’arrive parfois d’atteindre des demi-érections qui se complètent après la pénétration.

  

Et cette brune a tout pour me rendre fou. Elle a tout pour rendre fou un mec, un joli cul, des nichons magnifiques et un corps de rêve.

  

J’adore le fait qu’elle se rase et qu’elle laisse son petit minou au découvert, c’est excitant ça.

  

Je pense à son minou pendant que mes va-et-vient se poursuivent. J’ai les bras autour de son corps et je la pénètre comme si je faisais des flexions avec les bras.

  

C’est super excitant et ma partenaire semble adorer tout ça. Elle écarte un peu ses cuisses pour que j’aille encore plus profond et je ne perds pas le temps.

  

Il faut que je m’en occupe, il faut que je lui arrache un orgasme fou, comme jamais avant, un orgasme qu’elle n’oubliera jamais.

Sa chatte dégouline de fluides et soudain, contre toute attente, elle sort ma bite de sa fouf et l’enfile dans son anus.

  

Je reste un moment sans rien faire, ébahi par la surprise.

  

-Vas-y…je veux te sentir partout…

  

Je n’attends pas qu’elle me parle pour la deuxième fois et commence à la sodomiser très lentement.

  

Le sexe anal attise ma curiosité et je ne peux m’empêcher des jeter des coups d’oeils pour voir ma bite rentrer dans cet endroit petit, étroit, qui ne se dilate pas et qui se resserre autour de ma bite.

  

C’est tellement étroit que j’ai peur de lui faire mal, mais elle se remue dans tous les sens en signe d’approbation.

  

J’accélère donc mes mouvements et ce petit moment de sexe anal devient de plus en plus fou.

  

Après quelques secondes de mouvements soignés et lents j’accélère jusqu’à la vitesse maximale en limant son petit trou, au milieu de gémissements qui me rendent fou.

  

J’ai perdu le contrôle et je la préviens que je vais jouir. Elise me prie d’éjaculer sur ses fesses et cela augmente encore plus mon ardeur.

  

Complètement hors de moi, je retire ma bite de son cul et, en enlevant la capote à la vitesse de l’éclair, j’asperge ses fesses et tout son dos de foutre chaud.

  

Voici la suite de ce récit, intitulée : Masturbation torride avant de partir.

  

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Magali se laisse sodomiser a fond

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Résumé de l’histoire érotique : C’est l’histoire de Magali et de Jérôme, deux chauds lapins qui se laissent emporter un soir de printemps. Ils sont censés dormir pour se lever tôt le lendemain mais une chose en entraînant une autre, Jérôme finit par sodomiser sa petite-amie jusqu’à la faire jouir. Ne manquez pas cette histoire érotique formidable, en ce mercredi ensoleillé. ;)

  

  

Il fait chaud ce soir, et la sueur couvre mon corps, sous les draps. J’essaye de m’en débarrasser mais Jérôme m’en empêche, en me couvrant de nouveau.

  

On est censés dormir mais on ne dort pas. Demain nous devons nous lever tôt et c’est bien pour ça qu’on est couchés à vingt deux heures. C’est rare qu’on le fasse.

  

Pour ne pas me laisser distraire par les mouvements de mon petit-ami, qui ne peut pas rester coi, je lui tourne le dos en essayant de fermer les yeux.

  

Je me concentre sur un point imaginaire, dans le noir, pour appeler le sommeil. Quand je suis sur le point d’y arriver, je sens une main qui explore mes cuisses, par derrière.

  

Puis, un corps lourd et poilu se plaque contre le mien. La chaleur que dégage mon copain me surchauffe. Je pousse les draps et il les remets à leur place.

  

-J’ai chaud!

  

-Moi aussi… me dit-il en s’approchant encore plus pour que je sente quelque chose palpiter juste au dessous de mes fesses.

  

Il ne me laisse pas le temprs de refuser et, en sortant sa bite, la laisse glisser entre mes cuisses en sorte que le bout de son gland apparaisse au devant, en dessous de ma chatte.

  

Ayant ce gros morceau, coincé entre mes cuisses et palpitant contre ma vulve, je ne peux m’empêcher d’y prendre plaisir.

  

Je masse son membre avec mes cuisses en allant d’avant en arrière et profitant que sa lubrification naturelle est vraiment abondante.

  

Son precum coule sur mes cuisses et m’excite au point de perdre le contrôle. La température de Jérôme est brûlante et sa bite est encore plus chaude.

  

J’ai l’impression d’avoir un fer chaud entre mes jambes, que je voudrais avoir bien au fon de ma foufoune.
Soudain, contre toute attente, Jérôme retire sa bite et hop, il l’enfile dans mon anus comme si de rien n’était.

  

Pas un seul tiraillement, je n’ai rien senti et il l’a glissée jusqu’aux couilles. Complètement relaxée je me laisse faire pendant que mon copain me sodomise très lentement.

  

C’est la première fois qu’on le fait tout naturellement, sans en parler avant. Ma foune est complètement dilatée et mon anus aussi, ce qui me rend très heureuse car c’est la première fois que j’ai mes deux petits trous en syncrhonie.

  

Je prie Jérôme de me sodomiser à fond et il y va de toute sa force jusqu’à ce que ses couilles tapent fort sur mes fesses.

  

Je ressens un immense plaisir pendant que sa grosse bite me lime le petit trou, qui se dilate chaque fois plus.

  

Pendant que mon copain me pénètre, je me tripote en glissant deux doigts dans ma chatte histoire de pouvoir atteindre l’orgasme.

  

La jouissance ne tarde pas et je monte au septième ciel, au moment même où Jérôme, complètement hors de lui, commence à éjaculer dans mon cul.

  

Voici la suite du récit, intitulée : Caresses en solo sous la douche.

  

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Sodo torride en rentrant

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Résumé de l’histoire érotique : Viviane attend son mec, Noah. Elle lui a préparé une vodka et des frites pour le choyer. En rentrant du boulot, notre black s’occupe de sa femme et la sodomise appuyés sur le plan de travail, au milieu d’ébats incroyables. Ne manquez pas cette histoire érotique sur mon blog. ;)

  

  

Il fait chaud et l’air de la soirée souffle à travers ma fenêtre ouverte. J’attends Noah,qui doit être en train d’arriver.

  

Je lui ai préparé une vodka avec des glaçons, comme il aime. Je vais dans la cuisine pour apporter le plateau avec les snacks et les frites, et profite pour en manger quelques uns.

  

Assise sur un tabouret, près du plan de travail, je croque les frites et soudain, deux bras s’enlacent autour de mon corps en me touchant les seins, comme seul lui-même sait le faire.

  

C’est Noah, mon black, qui vient d’arriver. Il prend quelques snacks et puis je me mets debout pour l’embrasser sur les lèvres.

  

Il est tellement sexy ce soir, avec son goût à frites salées dans la bouche, que je craque à l’instant. Noah est grand et musclé et, à chaque fois qu’il me prend dans ses bras, je frissonne.

  

Ses mains cherchent mes fesses et se perdent à l’entre-fesses en me faisant gémir de plaisir. Il retrousse ma robe et ma culotte est déjà toute mouillée.

  

Ses doigts abordent mon entrejambe par derrière et caressent les lères de ma chatte, que j’ai rasée exprès pour lui, pour le gàter.

  

-Mais ta vodka…

  

Il ne me répond pas et je sais déjà pourquoi il ne parle pas. Sa langue pénètre dans ma bouche et sa salive excitante et gouteuse me fait gémir encore une fois.

  

-mmmmmmmm

  

Sa bite raide, visible sous son pantalon lâche se plaque contre mon bas ventre en me faisant fantasmer. Je m’abandonne à lui et me laisse toucher, sans rien faire.

  

Je veux qu’il s’en occupe, ce soir je suis sa poupée, je ferai tout ce qu’il voudra. Tout à coup, il me fait faire demi-tour et je me prépare pour être choyée…

  

Noah lubrifie mon entre-fesses avec sa salive et puis passe ses mains entre mes cuisses pour titiller ma foufoune, ce qui me fait pousser de petits cris.

  

-Que c’est bon…

  

Puis il glisse sa grosse bite de black entre mes cuisses et je fais un petit saut vers l’avant. Ensuite je me penche un peu plus en avant pour lui laisser encore plus d’espace pour manœuvrer.

  

Mais Noah me surprend et, sans me prévenir, il profite d’un moment de distraction de ma part pour enfoncer son dard dans mon anus…

  

-aieeeeeeeeeeeeeeee

  

Au début ça fait mail mais peu à peu je m’habitue à cette sensation très soulageante, d’avoir mon petit trou dilaté, chaque fois plus.

  

Il y va très doucement avec des va-et-vient très doux et cadencés, en me faisant sentir chaque palpitation de son membre.

  

Je ferme les yeux et me laisse faire, pendant que mon black me défonce en me pénétrant bien à fond.

  

C’est un grand plaisir et, même si ce n’est pas la première fois qu’il me sodomise, c’est la première fois qu’il me fait ressentir autant de sensations.

  

J’en suis aux anges et je laisse écarter mes fesses pour mieux y aller jusqu’à ce que ses couilles tapent sur ma chatte.

  

Tout à coup, Noah s’excuse. Je ne comprends rien à ce qui lui arrive et hop, il retire sa bite de mon anus et je sens un gros jet de foutre se projeter sur mon dos et mes épaules en s’égouttant jusque sur mes seins…

  

Voici la suite du récit intitulée : Orgasme infernal dans la cuisine.

  

Vous avez un talent pour écrire des histoires coquines et vous souhaitez les partager avec le plus grand nombre? Envoyez-les moi à l’adresse suivante : contact (AT) charmegroup.com et je les publierai avec plaisir!

  

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