Résumé de l’histoire érotique : Mathis a toujours rêvé de sodomiser sa demi-sœur coquine, Eva. Mais l’occasion ne s’est jamais présentée et notre ami a toute sa vie attendu le moment propice pour lui sauter dessus. Cette aprèm, en amenant leurs enfants à l’école, ils se retrouvent face à face, à la sortie du bâtiment et Eva lui propose de le reconduire dans sa voiture. Le récit de cette demi-sœur en manque de sexe, offert par notre blog d’histoires érotiques, vous fera capoter.
Je vois souvent Eva, ma demi-sœur, car ses enfants et les miens vont à la même école. Sa vie amoureuse est vraiment très mouvementée et la coquine change de mec presque tous les mois.
Et les mecs doivent lui tourner autour tout le temps, attirés par son petit corps de rêve, qu’elle entraîne tous les jours à la gym. J’avoue qu’elle a toujours été présente dans mes fantasmes, surtout quand j’étais adolescent et que je la voyais grandir à pas de géant.
J’ai dédié ma première branlette à sa poitrine généreuse qu’elle ne prenait pas la peine de cacher et qu’elle exhibait exprès devant les gosses du quartier.
Dans mes rêves, ma demi-sœur en manque me suçait jusqu’à me faire éjaculer car elle aimait avaler et se goinfrer de foutre.
Aujourd’hui je craque toujours à la vue de ses gros nichons, parfaits et naturels et de son petit cul que j’aimerais sodomiser bien à fond.
Je laisse mes enfants à l’école et je la vois venir vers moi. Le sourire aux lèvres, ma demi-sœur me donne un bisou sur la joue et me montre sa bague. Elle vient de se fiancer!!
On discute un moment et puis, comme ma voiture est chez le garagiste, Eva m’invite à monter dans la sienne. J’acquiesce sachant par avance que cette après-midi ne serait pas comme les autres.
Eva conduit très vite et elle ne cesse de toucher mes cuisses, à chaque feu rouge. Elle se permet cette proximité physique car on est supposés être «de la famille», mais de toute façon cela me fait bander grave.
Je ne sais pas pourquoi mais je ne cache pas mon érection, bien au contraire, je voudrais qu’elle s’en rende compte, pour voir sa réaction.
Eva l’a déjà vue mais elle fait semblant que rien ne se passe. Je regarde ses seins et son jean ultra moulant, tout chez-elle est à croquer et cela ne fait qu’augmenter ma gaule.
La bosse entre mes jambes est vraiment impossible à dissimuler.
Soudain, au tournant d’une rue, ma demi-sœur en manque de sexe ouvre la fermeture de mon pantalon, glissant ses mains sous ma braguette.
D’une main elle conduit et de l’autre elle caresse ma bite, avec une douceur extrême. Je n’ai jamais vu une femme si chaude, qui se permette de faire des cochonneries au milieu de la circulation.
Je la prie de s’arrêter devant un hôtel pour prendre une chambre. Elle m’obéit, toute rouge, excitée par le double effet de la chaleur écrasante de l’après-midi et de ma bite raide, qu’elle ne cesse de caresser.
Une fois qu’on est allés dans la chambre et que la porte est fermée à verrou, ma demi-sœur en manque s’agenouille pour me sucer, sans plus de préliminaires.
Elle astique mon membre bien à fond, en faisant des gorges profondes baveuses et incroyables, qui me font mouiller comme jamais avant.
Je la laisse assouvir un peu sa faim de bite et puis, en la priant de s’allonger sur le lit, je me couche à côté d’elle pour masser ses seins et l’embrasser sur les lèvres, pendant quelques minutes.
Je pince ses tétons durcis et la cochonne gémit très fort, en se tordant de plaisir. Les yeux fermés, Eva semble être sur le point d’exploser et cela m’excite davantage.
C’est trop pour moi, je me mets sur elle et, écartant grand ses jambes, je glisse d’un seul coup mon dard palpitant dans sa foune, humide et chaude.
«Ouiiiiiiiiiiiiiii, encooooooooooore, encoooooooooooore, vas-y Mathis, rends-moi heureuse»
Les clapotements de mon pénis dans sa chatte inondée de fluides me rendent fou. Ma demi-sœur en manque crie et me prie d’y aller de plus en plus fort.
Je la pénètre sans aucun égard, avec des mouvements très appuyés mais cela ne semble pas assez pour cette prédatrice sexuelle, décidée à prendre son pied avec son frère.
Tout à coup, la coquine retire ma bite et, en se mettant à quatre pattes, me prie de la défoncer sans aucune pitié. Je la baise à gros coups de bite, sans autre but que de lui procurer du plaisir et de la faire monter au septième ciel.
Rien ne vaut une demi-sœur en manque de sexe, je vous l’assure, car la cochonne, se sentant venir, enfile elle-même ma verge dans son anus, pour éprouver de nouvelles sensations.
Secouée par un orgasme infernal, Eva va-et-vient, sur ma bite raide, qui ne tarde pas à lui balancer un torrent de foutre dégoulinant dans son petit-trou.
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